ferveur
2 participants
Page 1 sur 1
ferveur
Telle la nuit aux rayons frais, tes larmes scintillent et sont ancre noire sur ma peau, le sel de tes lèvres m’est opium, et ta peau violine semble plus lisse que la soie des calices astraux, plus légère aussi qu’un nuage émoussée, que la reine des brises eût isolé dans son vaste océan azuré. Tes mains de jolie fée ont cette aspect florale identique à une tigelle en forme de coeur, tes yeux verts olive sont un échantillon de monorimes…un chef-d’oeuvre que l’on contemple souvent avec avidité.
Tes pommettes végétales brûlent et sont toujours enflammées d’envie et d’espoir. Elles paraissent de plus en plus vouloir hisser l’estime te ton honorable personne.
Comme l’éclatant jour baignant aisément dans une fontaine de rayons dorés, l’astre matinal vêtue de son plus beau bleuet est gemmé de mémoire et est en ce moment riche en souvenir, l’astre semé sous ton cœur chaviré, l’astre d’une si belle journée que le soleil de ta voix annonce prudemment à mes yeux.
Quelques vagues -de brouillard- errantes, en cavales et en fuites, s’évadent d’une ère inconnue…vagues de brouillard dansant qui auraient pu tracer mon chemin vers ton ombre mythique.
Le courant de maintes étincelles oubliées que dégage ton caprice, est certainement le plus admirable chant que mes yeux aient jamais dompté du regard. La nuit que je vois délie soigneusement ses vagues humectées d’amour, tout en abaissant son rideau. L’ombre nivale de notre lune galope son dépit vers la fenêtre que les rêves aillés auraient tissé en paix. Le temps s’est arrêté dans mon esprit de voyageur, et la sérénité paraît me posséder devant cette béatitude transcendantale. Je suis de nouveau heureux, et ne souffre point que d’avoir pas été un papillon capturé par les nattes, chères à mon âme.
Tes pommettes végétales brûlent et sont toujours enflammées d’envie et d’espoir. Elles paraissent de plus en plus vouloir hisser l’estime te ton honorable personne.
Comme l’éclatant jour baignant aisément dans une fontaine de rayons dorés, l’astre matinal vêtue de son plus beau bleuet est gemmé de mémoire et est en ce moment riche en souvenir, l’astre semé sous ton cœur chaviré, l’astre d’une si belle journée que le soleil de ta voix annonce prudemment à mes yeux.
Quelques vagues -de brouillard- errantes, en cavales et en fuites, s’évadent d’une ère inconnue…vagues de brouillard dansant qui auraient pu tracer mon chemin vers ton ombre mythique.
Le courant de maintes étincelles oubliées que dégage ton caprice, est certainement le plus admirable chant que mes yeux aient jamais dompté du regard. La nuit que je vois délie soigneusement ses vagues humectées d’amour, tout en abaissant son rideau. L’ombre nivale de notre lune galope son dépit vers la fenêtre que les rêves aillés auraient tissé en paix. Le temps s’est arrêté dans mon esprit de voyageur, et la sérénité paraît me posséder devant cette béatitude transcendantale. Je suis de nouveau heureux, et ne souffre point que d’avoir pas été un papillon capturé par les nattes, chères à mon âme.
homere- II - Jeune pousse
- Nombre de messages : 36
Date d'inscription : 27/06/2005
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum