Souvenirs éparses
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Souvenirs éparses
J'vous préviens : y en aura pleins, des vrais au début en tout cas ! Comme celui-ci que j'ai surnommé " petite mort d'un jour de juillet en 87 ) :
- t’es sûr ?
- bah oui, t’es con !
- ben merde alors….
Alors il n’avait rien compris, sûr qu’à son âge trop jeune ou trop vieux… il ne pouvait tout saisir, son manque d’expérience de la vie lui manquait terriblement d’ailleurs. Mais qui peut remarquer ce manque sans le connaître ?
Amoureux, çà il devait l’être pour être inconscient à ce point de… non retour…ou peut-être qu’il le voulait ainsi consciemment aussi ? Au troisième jour, il y eut un pseudo-tilt, il l’a vit différemment : une belle ossature presque comme une vraie femme, à la fois carrée et fragile, robuste comme le métal et chaude comme l’acier qui sort du four, une femme de tête toute vêtue de bleu tout simple, à la fois souple et solide, sans le savoir encore il l’avait déjà dans la peau…
Cette nuit là, seul, fut parsemées de questions toutes bêtes comme :
- tu crois que c’est la bonne ?
- ben vi tu pèses pas plus qu’hier que j’imagine
- ben non, j’chuis con tu sais bien…
- a toi de la sentir ! T’es pas venu pour çà ?
Bien évidemment qu’il était venu pour elle quitte à en mourir, il ne pouvait plus faire marche arrière et… s’il était venu seulement mourir ?
Cette nuit l’autre est apparue justement, encore plus belle que d’habitude, dans sa robe de la couleur que l’homme seul peut imaginer, doucereuse, aguichante et sensuelle comme nulle autre, celle pour qui on ne peut dire non…Celle dont la peau est si pure et lisse comme sa liqueur qui descend toute seule le long de ses cuisses et dans le gosier de l’amant dépendant… Et ils s’aimèrent bien plus qu’avec passion, au delà de la folie et… quand l’instant fut propice à de multiples jouissances conjuguées, le déclic vint tout seul dans sa tête, il savait qu’il le pouvait, qu’un « Dieu « venait de lui donner tout son savoir, c’était le top, l’in-ratable, demain il sera prêt !
Ben oui qu’il était prêt, plutôt bancal sur les bords mais il arrivait à tenir debout encore un peu ! Quel cuite bordel !
Elle n’avait pas changé, toujours habillé simplement d’une robe bleue, à vouloir se vautrer dedans… Mais ce n’était pas le sujet ce jour-là, il devait la prendre et lui montrer qui est le maître ou disparaître à jamais….
Sa vie défilait un peu là… ( ce sera le sujet d’autres nouvelles ) mais il sentait son parfum et voyait le ciel s’ouvrir devant lui… le souffle des vents forts flagellait son cuir en Goretex… il faillit s’évanouir après dix minutes d’attente à porter les vingt-cinq kilos de la robe bleue quand l’autre là ( celui du début ) lui dit :
- le vent est bon
- gueuh ?
- vas-y ! Go !
Et je l’écouta….
- t’es sûr ?
- bah oui, t’es con !
- ben merde alors….
Alors il n’avait rien compris, sûr qu’à son âge trop jeune ou trop vieux… il ne pouvait tout saisir, son manque d’expérience de la vie lui manquait terriblement d’ailleurs. Mais qui peut remarquer ce manque sans le connaître ?
Amoureux, çà il devait l’être pour être inconscient à ce point de… non retour…ou peut-être qu’il le voulait ainsi consciemment aussi ? Au troisième jour, il y eut un pseudo-tilt, il l’a vit différemment : une belle ossature presque comme une vraie femme, à la fois carrée et fragile, robuste comme le métal et chaude comme l’acier qui sort du four, une femme de tête toute vêtue de bleu tout simple, à la fois souple et solide, sans le savoir encore il l’avait déjà dans la peau…
Cette nuit là, seul, fut parsemées de questions toutes bêtes comme :
- tu crois que c’est la bonne ?
- ben vi tu pèses pas plus qu’hier que j’imagine
- ben non, j’chuis con tu sais bien…
- a toi de la sentir ! T’es pas venu pour çà ?
Bien évidemment qu’il était venu pour elle quitte à en mourir, il ne pouvait plus faire marche arrière et… s’il était venu seulement mourir ?
Cette nuit l’autre est apparue justement, encore plus belle que d’habitude, dans sa robe de la couleur que l’homme seul peut imaginer, doucereuse, aguichante et sensuelle comme nulle autre, celle pour qui on ne peut dire non…Celle dont la peau est si pure et lisse comme sa liqueur qui descend toute seule le long de ses cuisses et dans le gosier de l’amant dépendant… Et ils s’aimèrent bien plus qu’avec passion, au delà de la folie et… quand l’instant fut propice à de multiples jouissances conjuguées, le déclic vint tout seul dans sa tête, il savait qu’il le pouvait, qu’un « Dieu « venait de lui donner tout son savoir, c’était le top, l’in-ratable, demain il sera prêt !
Ben oui qu’il était prêt, plutôt bancal sur les bords mais il arrivait à tenir debout encore un peu ! Quel cuite bordel !
Elle n’avait pas changé, toujours habillé simplement d’une robe bleue, à vouloir se vautrer dedans… Mais ce n’était pas le sujet ce jour-là, il devait la prendre et lui montrer qui est le maître ou disparaître à jamais….
Sa vie défilait un peu là… ( ce sera le sujet d’autres nouvelles ) mais il sentait son parfum et voyait le ciel s’ouvrir devant lui… le souffle des vents forts flagellait son cuir en Goretex… il faillit s’évanouir après dix minutes d’attente à porter les vingt-cinq kilos de la robe bleue quand l’autre là ( celui du début ) lui dit :
- le vent est bon
- gueuh ?
- vas-y ! Go !
Et je l’écouta….
Re: Souvenirs éparses
Ben... Et la suite là ?
Euh... Et c'est quoi Goretex ?
Ah ben tiens !
Je constate qu'il y a de mes smileys ici !
Euh... Et c'est quoi Goretex ?
Ah ben tiens !
Je constate qu'il y a de mes smileys ici !
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