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NOUVEAUX ARTISTES (Pierreville/Masson, écrivains anonymes)

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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 19:31

Voilà un topic qui rassemble toutes les histoires passées et à venir de cette formidable aventure !

(pour des raisons de cohérence, ce sujet est verrouillé. pour poster des commentaires, il faut aller dans les sujets respectifs des histoires concernées.)


Dernière édition par le Jeu 27 Déc 2007 - 20:25, édité 3 fois
Alca//122
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 19:46

Où est l'hydroponique ? -VERSION INTÉGRALE-


Un jour, dans sa centrale nucléaire, Jean Luc Heenok dit le Roi Heenok lisait le dernier râteau à feuilles à la mode. Et puis, la centrale nucléaire explosit. Et puis tout le monde moura. Ensuite, Roi Heenok prit son magnum 357 et partit voler quelques poules au Groenland, Mais au Groenland il y avait la mafia italienne, et le grand chef de la mafia, il voula enculer Roi Heenok pour un gramme de cocaïne qu'il avait utilisé pour saler ses oeufs à midi, ce qui ne correspondait pas aux termes du contrat que Johnbob, célèbre animateur télé en Moldavie du sud du pole nord, avait rédigé pour eux. En effet, Johnbob était un homme de précision, qui ne supportait pas les approximations ! C'est pourquoi il avait bien précisé que les patates devaient être cuites a la vapeur. Johnbob aime beaucoup les moutons aussi. Il les ramenait chez lui à chaque fois qu'il en croisait un dans la rue en revenant de chez son dentiste. Sa collection s'élevait déjà à 752,3 moutons. Pendant ce temps, à Paris, Koneeh Ior El, le frère jumeau et maléfique de Le Roi Heenok, s'achetait un kebab salade tomate sans oignon avec double fromage, ainsi qu'une moule frite quadruple portion de mayonnaise. Soudain il s'acheta de nouveaux protège-genoux, car il aimait bien jouer de l'harmonica. Koneeh Ior El jouait de l'harmonica en souvenir de son chien mort dans un attentat a la bombe fromage. Une bombe caché dans un morceau de fromage. "Encore un coup foireux de ces putains d' martiens !", s'était-il dit. Mais les martiens n'était, pour un une fois, aucunement impliqué dans cette triste aventure. Koneeh était en effet schizophrène et avait lui-même placé la bombe afin de se venger de son frère, qui avait toujours mangé ses flamby lorsqu'ils étaient petit.
Le Roi Heenok haussa violemment les sourcils pour impressionner son adversaire. "Il manque un gramme" cria-t-il en imitant parfaitement le cri de la girafe en train d'agoniser. Mais c’était sans compter la vivacité de Johnbob, qui, en un éclair fut sur place et sodomisa un chien ! En effet, Johnbob aime sodomiser un chien a chaque fois qu'il arrive en un éclair. Grâce à cette diversion imprévue, le chef des Torelli parvint à filer à l'anglaise et rejoint son continent dans la plus grande discrétion, en effet il avait eu la brillante idée de se déguiser en hirondelle d'Afrique, et chacun sait que ces oiseaux passent inaperçu dans un champs de nodz et c'est exactement là que se trouvait son quartier général. Le Roi Heenok monta alors dans sa berline de luxe et décida d'aller vendre de l'hydroponique. Mais comme sa montre n'était pas chère, (même pas 100 dollars !), il s'arrêta au snack bar "chez Léon", pour tenter de revendre sa montre a la grosse Carole qui est joufflue et qui fait des fautes sur son menu mais elle était absente en RTT ce jour-là. Fou de rage, il commanda un hamburger au saucisson ! Mais hélas, le sandwich était empoisonné ! Johnbob venait de sodomiser un chien et maintenant il se trouvait là, devant Le Roi Heenok ! Il triomphait de victoire !!! Mais c'était bien mal connaître Nicolas Sarkozy !

Une comète s'écrasa sur la Terre.

Tres loin de tout ça, Super Maçon, le superhéros qui construit des maisons plus vite que Bernard Tapie, décida d'entrer en contact avec Johnbob, son vieil ami qu'il avait rencontré un après midi ensoleillé d'hiver, au sommet d'un toboggan. Mais en partant a sa rencontre, il se rendit compte que la roue gauche de son tricycle était voilée. "Non" hurla-t-il, on va me prendre pour un islamiste !
Il appela alors une dépanneuse avec son téléphone cellulaire mais soudain on toqua à sa porte à trois reprises, des toquement énervés.
Il se dirigea vers la porte d'entrée en sautillant, tout en se demandant qui cela pouvait bien être à une heure aussi tardive du matin de la veille au soir. Quelle ne fut pas sa surprise quand en ouvrant il se trouvat face à un sosie de Michel Polnareff, mais sans cheveux, ni meme oreilles.
C'était le livreur de pizza qui lui apportait une choucroute, mais en regardant la choucroute, super-maçon s'aperçut que les saucisses ressemblaient étrangement à des batons de dynamite, et la choucroute a une perruque. Le livreur lui expliqua alors que pour le 14 juillet, il voulait passer la journée avec sa copine, mais comme elle s'appelait George, il renoncerait.
Il partit en pleurant, tandis que super-maçon referma 8x la porte et retourna dans son atelier où il cherchait à trouver la formule du ciment idéal miraculeux double plus beau bien. Mais la tâche était loin d'être aisée, et c'est pourquoi il avait besoin de Johnobob : pour l'aider à trouver le nec plus ultra de tous les tracteur de tout le monde entier, celui qu'il fallait a ton bon maçon se respectant lui meme.
En se respectant lui meme, il se dit qu'il respectait également les pingouins, et appela johnbob, qui en décrochant dit : C'EST LA DERNIERE FOIS MAMIE ! Avant de s'aperçevoir que c'était pas sa belle mère mais son vieux pote Super Maçon. Emu de joie jusqu'à une larme, il s'écria que ça sentait la choucroute-perruque dans le combiné de son téléphone, ce que confirma bien sur super-maçon, en l'invitant a venir manger un bout.
Si tot dit, si tot fait, c'est donc ainsi que le lendemain du jour d'après, johnbob arriva avec un jour de retard sans faire exprès. Johnbobo lui dit qu'c'était pas grave, tout ça, super. Et il se mirent à discuter de ciment. mais tout à coup ils discutèrent des herbes thérapeutique d'asie du sud.Saisit de panique d'entretenir un tel débat sans etre expert en la matière, ils dégainèrent leur épée pour un duel à mort. Mais c'était sans compter le téléphone de johnbob qui sonna soudain, avec au bout du fil Roi Heenok qui avait encore une fois égaré la gomme de son crayon porte-bonheur. Il appela son pote johnbob a la rescousse, en le priant de prendre avec lui une gomme de rechange ainsi que Super Maçon qui pourrait canard à l'orange le tire bouchon du cancrelat poussiereux de sa soeur bernadette. "Bernadette?!" s'exclama super-maçon..."je connais déja une bernadette et ce n'est pas ce que j'ai fait de mieux dans ma vie ! Tu n'aurais pas une maison à me faire construire, plutôt ?
Johnbob se frappa le front. Il venait de se souvenir que si roi heenok perdait toujours sa gomme, c'est car il était sans-abris.Il fit part de cela a super-macon, qui s'arma de sa truelle, et enfila sa salopette. A défaut du tricycle, ils partèrent en avion super top rapide mais moins customisable auquel cas de par le fait. Mais il y avait trpo d'oranges dans le canard à l'orange, et alors ça a complètement fait basculer l'avion sur la droite.Dès lors, au lieu d'arriver chez roi heenok, ils avaient atteri dans un champ de nodz...

Genre tout d'un coup, le champs de nodz se mit à vibrer furieusement ! C'était le chien géant mangeur de flic de Jean René Edouard de Mont Cul, professeur d'espagnol de Johnbob qui débarquait, porteur d'un message crucial pour Super-Maçon. Ce dernier alla détacher le parchemin de l'énorme patte du clébard et lut à haute voix :
"Ta gueule un peu sale enculé d'ta race ?
Qu'est ce que...qu'est ce que...


AH PUTAIN J'AI MAL AU GENOU !"
"Quel message terrifiant", vrombit le chef de la mafia italienne en se frottant les mains !
En effet, il reconnut dans ces quelques lignes l'accent parfait du professeur d'Espagnol de Johnbob, qui avait été autrefois son amant. Il savait que Jean René Edouard de Mont Cul etait sérieux !
Par conséquent, il se servirent du chien géant comme d'un éléphant, montèrent sur son dos et partirent à la recherche de Roi Heenok dans les plus brefs délais. Ils songèrent même à se cotiser pour lui offrir une gomme neuve une fois que Super-Maçon aurait eu fini sa mission.
Mais le nodz était imprévisible et muta en un suppositoire géant digne de la plus facétieuse aventure des tortues ninja au pays des sodomites ! Le chien s'envola bien vite et évita ainsi le terrible médicament rectable. JohnBob, SuperMaçon, JRE de Mont Cul et Le Parrain firent ce qu'ils putent pour ne pas tomber, tant et si bien qu'ils ne virent pas quelle direction prenait Chientor. Lorsqu'il atterit en douceur, huit yeux s'ouvrirent devant le Franprix de la rue Charles de Gaulle, roi des français de 1924 à 12 (Un peu de culture général ne fait pas de mal !).
L'hotesse de la caisse n°8, qui venait tout juste de finir son boulot, prit le metro, comme tout les jours, et rentra chez elle sans problemes. Si ce n'est qu'il commençait a pleuvoir et que cette conne avait oublié son parapluie ce matin. Ah ça, quand il s'agit de faire un clin d'oeil au facteur on oublie pas hein ! Toutes des putes, j'te l'dis moi.

Enfin, ouais, revenons a nos chiens mutant et a notre champs de nodz professeur d'espagnol.
Huit yeux s'ouvrirent devant un champ d'entraînement militaire, mais tout vide et tagué avec des slogans choc du genre "a ba l'armé, a ba la guèr, a ba les mi-litère, na !", "un soldat en moins c'est plus de tissu vert pour les nains" ou encore plus forts encore, genre "bite".
Ils furent alors accueillis par un vieux rat déguisé en kalachnikov qui hurla :"Mais bordel, vous faites chier a faire intervenir n'importe qui dans l'histoire ! J'etais deguisé en kalachnikov pour le bal costumé organisé par Speedy Gonzales. Foutez moi la paix avec vos histoires de hippies de merde !"

Et c'est a ce moment qu'une femme fit son apparition. (C'est vrai quoi, a part la caissiere de tout a l'heure, y en a pas beaucoup, de connasses, dans l'histoire)
C'était Ealyann qui partait récolter des plantes magiques dans la forêt. Elle passa devant eux sans les remarquer, mais quand elle vit le chien, elle se retourna vers eux. "Votre ami a perdu sa gomme, hein ? Dites-lui d'essayer les poires rectables !" Puis elle disparut dans un grand rire cristallin. JohnBob trouva l'idée top moumoute, et décida donc d'aller manger une laitue.
Super Maçon desapprouva l'idée, il preferait la fumer, la laitue. Car selon lui, une bonne tafe sur un joint de laitue, c'est comme un coucher de soleil sur la plage, des rires d'enfants, un bidet tout propre ou un ane petomane. Super Maçon super mourra, quelques minutes plus tard, un joint de laitue a la bouche. C'etait pas de la laitue. C'ETAIT DU NODZ !
En effet le nodz à la manière du caméléon n'a aucune pitié. Mais si il mourait toute la mission tombait à l'eau, et Heenok perdrait sa gomme à tout jamais ! Comme cela était trop horrible, il décidèrent de mourir un autre à sa place. Le sort tomba sur JohnBob, parce qu'il a fait son temps cet écornifleur. Donc SuperMaçon se relevit mais il ne pouva pas. En effet comment ?trouver la maison du Roi ! C'était johnobobo qui seul conaissait l'adresse !
Alors ils téléphonurent aux renseignements ooù une voix leur disa :
"Mais bordel, c'est pas les renseignements que vous avez appellé là ! Je vous ai dit de me foutre la paix avec vos histoires de hippies super con !"
Une voix, en fond : "Eh la kalach, tu viens ? C'est ton tour ! Viens lui defoncer le ...!"

Plus rien.
Le fil du téléphone etait coupé.
Ce qui est louche, parce qu'en fait Hitler avait appellé d'un telephone sans fil.

(Rodolphe Hitler était Petit frere de la proprio de la bibliotheque du coin)
Ils congédièrent le moustachu mais gardèrent son protable, ceci afin de prouver aux gendarmes qu'ils étaient victimes d'un saboteur en série. Mais finalement Le Parrain, trop chargé en coke, décida qu'ils appelleraient les renseignements d'une cabine. Ils rendirent son micronde à hitler puis revendirent un peu de coke en échange d'une carte téléphonique, trouvèrent une cabine et firent le DOUZE !
La cabine ronfla puis décolla dans le ciel.

FIN

(Merci à Christophe "Shikamaru" de Coster)
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 19:48

"On est tous sur l'hydroponique !", la nouvelle fanfic très médiévale des Nouveaux Artistes !!!


Il etait une fois dans le monde des humains de la terre, deux amis inséparables et frères de sang. L'un était forgeron et construisait de belles épées, l'autre était apothicaire et faisiat des très super potions. Ils menaient une vie tranquille à écouter des troubadours gangsta rap et à échanger leurs points de vue sur la politique jusqu'à ce que tout changea. En effet par un beau jour d'été petit papa Noel descenda du ciel. J'sais, z'allez m'dire qu'c'est louche comme ça en plein été et tout. Mais en fait, faut savoir que le Pere Noel c'est rien d'autre que le deuxieme fils de dieu ! Celui qu'il a eu pas officiellement quoi. Son batard, en fait. Enfin on s'en fout de l'histoire ancienne toute cette merde...
Bref le Papa Noel annonça a ces deux jeunes amis : "le monde va changer !" OoooOoOoOOoh "eh ouais car en fait bientôt les ténèbres s'abattront sur l'obscurité des ombres nocturnes et il fera noir un peu, enfin je crois" aAaAAAAAAah "attendez je relis mes fiches" chlofto chlofto cholfto "ah non en fait c'est juste que vous aurez une mission à accomplir, très périlleuse et tout ! bonne chance !" pouf nuage de fumée, plus noël. Mais nos deux héros se preparaient déjà a la bataille finale qui sauvera le monde de John W. Bob (cousin par l'ami de la tante de Johnbob, 300 ans avant ou aprés) l'infame roi diabolique qu'il a donné son ame a le diable tout ça. Enfin le mec enervé quoi, meme dans l'exorciste tu flippes pas comme ça. C'est un ouf j'te dis. Alors les deux amis aiguiserent ( ?? ) leurs fusils a pompes. Enfin leurs arbaletes a pompes.
Tout à fait Thierry !
Avec leurs arcs et leurs couteaux ils partirent pour les montagnes noires et blanches de l'Anaal Natrakh, dans le nord du pays.
C'était loin.
Mais ils se rendirent compte de s'aperçevoir que c'etait encore plus loin qu'ils l'avaient prévu. Du coup, bah, ils tomberent en rade de bouffe. René, l'un des deux héros choisit par le pere noel pour sauver le monde des flammes de l'enfer des tenebres John W. Bob tout ça, disa :" De diantre, il s'estoit que j'avate faim ! Que diable allons nous manger de donc ? Devons nous chasser l'un de ces ridicules hippopotames a peau blanche ?".
L'autre héros qui s'appelait donc Jean-François lui répondit sur un ton de sandwich à l'ampoule : "Or donc mon beau, que ne ripaillions nous point un de ces rinoféros ? De expédiat, je pensois conséquemment et nonobstant que plutôt pourrions-nous de manger un peu ces baies, là, sur l'arbre. "Ce estoyons des prunes" dit un nain qui s'enfonçait une branche dans le derriere. En effet, les nains, dans le monde de René et Jean François etaient des etres contre nature. Tout ce qu'ils trouvaient, etre vivant ou pas, ils se l'enfoncaient dans le derriere juste pour gouter.
Ceci expliquait leur couleur vert neige et leur sourcils proéminents. Mais si il y avait une chose su laquelle on pouvait faire confiance aux nains, c'était qu'ils ne mentaient jamais. Donc nos héros mangèrent des prunes "Je pensois à une chose de importance, cher ami" dit René "n'ayois vous point la peur de avoir comme qui dirait la tourista après ça ?"
Un nain leur apporta du jus de riz.
Et leur route se continua sans peine. Ils jetterent le nain a un carrefour, et arriverent dans la ville de "Pustain-mais-vastoi-faire-enculer" (ville qui, plus tard, fut baptisé "Marseille"). En ville, ils trouverent un marchand de nodz, ce qui leur fur très utile car le nodz est très nourissant bien que sa fulmée soit toxique ! et quand on plante un champs de nodz il est aisément trnsportable. Cela résolut le problème de la nourriture. Comme ils avaient fait une grosse commande, le marchand leur offrti un bateau. Ils décidèrent donc, depuis marseille, de remonter la Seine. Ce ne fut pas sans quelque désagrément car en effet chacun sait qu'à Marseille la Seine n'est pas navigable. Ils passèrent donc par l'Everest.

Ils marcherent longtemps. Trés longtemps. Tellement longtemps, que bah, ils gelerent dans leurs armures de plates (on est dans un monde mediéval, j'vous l'rappelle !). Du coup, nos deux héros opterent pour une armure en peau de Yak qu'ils tuerent a coup d'épée dedans la gueule. Du coup, bah, ils pouvaient se deplacer et avoir chaud en meme temps.
Mais ce qu'ils ne savaient pas, c'est que l'armure en peu de yak était le signe disctinctif des Barbares Ruktamoz, qui avaient un compte à régler avec les Korbakks de la plaine du Sud. on s'en branle pour l'histoire, mais tout de même un homme avertit en vaut deux alors j'préfère le dire, t'entends ?
"J'aimions les sorbets pêche, pomme, framboise" répondit René. Poupouf ! Une jolie fée apparut.
"Allates vous faissase enculer héros de mes deux !"
Cela choquit Jean François qui reponda : " Vastoi faire enculer toi de meme, ostie de fée de mes arpions".
Mais la fée finissa dans le cul du nain qui guettait pas loin, toujours en quete de sensation diverse.
"Où allastois on nous, maintenant cher Jean François" demande René d'un air de tortue ninja en quete d'hydroponique
"NON
répondit Jean François
il faudroit de prime abord redéfinir les terminologies du pactes que nous signatons". "de d'accord" dit rené.
En conséquence ils visitèrent la grotte de Lourdes mais bien plus tard. Pour l'instant ils étaient dans le cul d'un nain qui les avaient surpris par par manque de bol ! René et Jf venaient tout juste de rater le carosse Paris-Frankfort-Roubaix, et c'est a ce moment que le nain zarbi en profitarassetoissait pour se les coller dans le derriere. Ce fut sans compter l'intelligence de René qui avait toujours sa hache qui faisait trois fois sa taille sur l'épaule. Ce fut par un cri d'anus de nain dechiré qu'ils furent reveillé de ce mauvais reve. Ils devaient sauver le monde ! Pour qui ? Pourquoi, au fait ?
"Putain de scénario à la Pinocchio de prise de têt d'enculé de mes couilles", dit un nain. "je peux vous offris un verre de jus de pample ?" ajouta-t-il

L'exactitude de ses prévisions météorologiques était ahurissante.

Soudain qu'apprarut Pinocchio, défoncé à l'éther comme d'habitude. Il dit un truc super important peut-être mais personne ne comprit rien alors tant pis. "Ah bon" répondit François Ier qui passait par là. Nos deux héros continuèrent donc leur navigation sur l'Everest et arrivèrent bientôt en Argentine. Mais comme nous sommes au moyen âge l'Amérique point encore découverte de être ne pas ! Donc ils retournerent sur leurs pas, c'est a dire vers Calcutta. Ils acheterent 200 kilos de café en brique et les jeterent sur la tete des gens, du haut d'un pont. Nos deux amis etaient desesperé ! ils ne savaient plus que faire. Soudain René dit :
"Et si nous inventions la berline de luxe ?" Jean françois hurla "RIDICULE ! ABSURDE ! Inventons plutôt la brouette." puis René répliqua "Stupidois ! Cela existions de déjà ! Inventons plutôt un Elvis Presley gonflable qui clignote dans le noir !" Puis Jean-François lui lança une brique dans la tête et ils tombèrent ainsi d'accord : ils créèrent en forgeant et en potionnant, un trousseau de clés pour ouvrir la porte du chateau fort où etait retenu prisonniere Miraballe, la princesse de France-Beau-bien. Le Pere Noel apparu devant nos deux héros et leur dit : "Bravissimo ! Vous avates trouver l'objet de la quete périlleuse ! Z'avates plus qu'a aller dans le chateau et sauvates la gonzesse". Avec une démarche rappellant un mec qui descend les escaliers avec un zouki dans le cul, le Pere Noel s'en alla. René et Jean François avaient enfin une mission a accomplir ! Mais...
ce con de Pere Noel avait oublié de dire quel chateau !!! Ils décidèrent donc que le chateau devait être n'importe où. Alors ils prirent une piste de 421 et lancèrent les dés ce qui leur fournit des coordonnées, puis grâce à leur clés magiques il transformèrent la piste de 421 multifonction Pokématos en serrure vers ce château ! Ils atterirent dans la remise du jardiner, en sortirent et furent attaqué par des chiens deguisés en pirates. René sorta son épée et en tua un d'un coup d'épée. Et puis il fendit le crane d'un autre avec sa hache de 3 m. Jean François jouait de la flute. Jean François ne savait pas se battre, il preferait jouer de la flute. René tua encore un chien avec sa masse, et puis un autre et encore un autre avec son arbaletes a pompe. Et puis arriva le gros chien pirate mangeur d'homme. René esquiva une attaque et puis une autre et il donna un coup d'épée dans le gros chien qui mourra. "Pffiou, dit il. Ce s'estoit un combat rudement difficile !". Jean François asquiesca en jouant de la flute
"firouli firoulaaa" dit-il "Quoi ? je n'ai pas bien compris dit René. "Firouli Firoulaaaa" répondit JF "ah c'est mieux" dit René. Puis ils marchèrent vers le château, genre film de vampire des années 1890 tout noir et tout, les nuages qui tournet, les gargouilles, truc de ouf, jusqu'à ce que René se rendit compte qu'il était seul. En effet Jean-François s'était arrêté en chemin pour accorder sa flûte ! René cria "VITE ! ON T'ATTEND ! CHAUD DEVANT UN PEU !" et Jean-François répondit " De d'accord ! Un instant ! je me dépêchit !"
Ils arriverent devant la porte du chateau. Mais il y'avait pas de porte. C'etait un pont levis ! Le Pere Noel les avaient bien eu ! Ouais oh, pas tant que ça finalement. René defonça le pont levis a la hache et ils pouvarent entrer dans le chateau. Le garde qui matait la télé fut surpris lorsqu'il regarda l'épée qui lui sortait de la gorge. Il voulut s'exclamer : "Au secours ! A l'aide !" Mais tout ce qu'il put dire fut :" Grelaaagaa" . René retira son épée de le garde et l'essuya avec un rideau joliment décoré avec de grosses roses blanches. Genre. René le belliqueux lui prit son fléau d'armes et JF le musicien vola sa cornemuse africaine. René dit que c'était encombrant mais Jean-François réplique que ça pouvait toujours servir, pour leurrer une hirondelle par exemple. En effet ! Et donc ils franchirent la porte intérieure cu château, qui était restée ouverte.
Ils arrivarent dans la cour intérieure d'icelui. Quand tout à coup une casserole volante percuta la tete de René qui avait enlevé son casque pour chier. Il tomba dans le coma, mais pas trop longtemps non plus. Jean François attendit qu'il se reveilla.

René se réveillut. Car il sortissa du coma un peu Jean-François lui dit bon journer il se relevit et il pouvatent continer leur périple quand soudain ils marchèrent de beaucoup les dalles du chateaux étèrent humides poisseuses et blouaques mais non deux héros étèrent déterminassé à finir de leur mission au bout jusque quand tout à coup un peu. Mais ce ne fut pas? Ah bon. Henri IV répondit que oui
C'est a ce moment que John W. Bob intervint en un eclair en sodomisant un chien.
"Trés original comme arrivée, disa René !"
John W. Bob allait detruire le monde avec sa magie maléfique des tenebres ardentes de les flammes le camembert le petrole toutes ces conneries. Jean François lui joua de la flute dans l'oreille et René en profita pour enfoncer sa hache dans le crane de John W. Bob qui mourra avec le chien qu'il sodomisates.
"On a sauvé le monde, s'exclama Jean François !".
Oui mais non. C'etait pas fini ! Pas encore...
Et puis y a la gonzesse a sauver, merde.
Parce que quand même c'est important les gonzesses surtout quand elles ont des nichons partout vous me comprenez suivez mon regard j'ai le droit de dire BITE mais j'ai complètement envie de dire autre chose mais vous ne le saurez jamais car. Donc bah John W. Bob était mort mais son vice-roi Cock Chenay était toujours du côté "in" de l'existence. Donc d'abord sauvates la gonzesse, après on discutera politique putain d'enculé. Ils marcharent jusqu'à arrivit un donjon qui devant eux estoyat. De très noir et tou avec des cris de cactus diabolique. Par conséquent,
René remis son casque. Ils entrerent dans le donjon et trouverent Miraballe, la princesse de France-Beau-Bien en train de jouer au billard avec Poupon le bourdon. Tranquille. Putain y a deux héros qui acceptent la terrible mission de la secourir et, au passage, de sauver le monde et cette bouffone joue au billard avec un crétin de bourdon sorti tout droit de l'imagination a chier d'un belge ?
René tua Miraballe a coup de hache.
Un nuage violet et mauve mais multicolore cria "crache tes glaires pédé !" puis il se ravisa et dit à René "BRABO HOMME TU AS REUSSU A TROUVER LA CLEF DE L'3NIGME NUM3RO UNE !!!!
car la princesse étaite fausse de bien sûr.
Le père Fourras se mit donc le doigt dans le cul et chanta une chanson paillarde qui ressemblait à ceci :
"Trabadja la moukère, trabadja boneau, tempe ton cul dans la soupière, tu m'diras si c'est chaud, la la la lalalala laaa..." René le tu d'un coup de tube qui lance des boules en pique de immédiatement.
René le tua d'un coup de sorte de tube qui lance des boules en pique de immédiatement.
Ceci leur ouvri une nouvelle porte qui n'était pas là avant. jean-François dit "ah bon" et René le félicita pour son brillant sens du résumé de la situation. C'est alors qu'un dragon cracha du feu en moldavie du sud du pole nord. Mais soudain Jean-François dit :
"Ventre Saint gris, mais on se les geles ici mordious !"
Alors il mit un pull par dessus son armure en peau de yak. "Ah ça va mieux."
"Ah bon, dit René".
Et ils partirent ailleurs, la où la vérité se trouve.
Aprés trois jours de marche et quatre de pause, ils arriverent enfin a ailleurs. Petit village de 503 habitants.
"Bonjour, cher villageois ! Nous estoyons venu chercher vérité, est ce qu'elle traine dans le coin ?"
Le petit vieux pointa le doigt en direction d'un
jeune moustachu vraisemblablement homsexuel qui sculptait des statues en bois d'arbre. Bonjur disarent ils et il réponda : "I want to break free". Ils disatent : nous cherchons la vérité ou un truc du genre il réponda "We are the champions, my friends" Alors ils demandarent la direction de la vérité. "the show must go on" finissa til nos deux héros volèrent sans vergogne tout son stock de
saucisson à l'ail puis repartirent dans la forêt en direction d'un pays apelé Oompaland
Sur le chemin ils rencontraterent un petit elfe nommé Gérard. Gérard etait un petit elfe solitaire. Sa famille avait été tué par Belzebute et sa légion ardente plein d'enculé.
Mais au bout de deux jours ils en avaient déjà marre de sa gueule. Toujours a se plaindre "Ouais j'suis seul tout ça, ma famille assassiné tout ça bla bla bla tout ça."
René le tua a coup de hache. Enculé.

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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:09


"On est tous sur l'hydroponique" : suite et fin.

Et puis ils arriverent a Oompaland en chantant du Hugues Auffray dans sa version remixé par Ozzy Osbourne.
Ils mangèrent du concombre car le saucisson à l'ail c'est bien mais il faut savoir se drainer surtout au moyen âge. Ah ? Non.
De expédiat ils rencontrèrent un rinoféros trrrès en colère qui exacerba leurs désirs à la manière des putes d'issy-les-Moulineaux. Ils se gratèrent la nuque, auquel cas un trou s'ouvrit dans le sol te la faille de San Francisco et la crevasse les happa. Ils se trouvèrent
loin sous terre et devant une fontaine bleue qui fait de la belle musique. Cela étant, un sandwich au pneu de caniche leur distibua des cartes. C'était pour jouer au poker ! mais comme jean-françosi trichat ils gagnarent et jouèrent à la belote avec Louis de Funès et Guy Lux même qu'ils étaient pas nés mais on s'en fout ta gueule MERDE. C'est alors qu'ils continuèrent leur chemin au delà
de la fontaine et arrivirent devant un étroit couloir sombre "ça ressemble à un piège dit jnaefrçaois-e. René répondissut : "alors ça n'en est pas un". mais il fallait payer pour entrer, 5 francs une personne, 7 francs deux personnes, comme aux chiottes de la SNCF. Ils entrèrent donc ensemble. Comme je viens de le dire mais je répète puisque vous suivez pas CONNARDS, le couloir sombre était étroit
à moins que le couloir étroit fut sombre. Réné répondo :
"En tout cas c'estoi bien sombre et etroit par ici"
Jean François fut abasourdi par la persipicacité de son ami René. Ils avancerent donc dans le noir en se cognant contre les murs.
Et puis, d'un coup, la lumiere. Leur ennemi juré se tenait là, devant eux suçant une tire lire en forme de canard laqué a l'orange cendré. Il leur disa sur un ton de boite a chaussure etrange et sordide : "sbraalouaf goubargoi braeurg gugu". Une tete defoncé a coup de hache, forcement, ça aide pas. Tiens d'ailleurs comment il peut etre vivant si il a la tete defoncé ? Chelou. Bref, René le retua a coup de hache. On pouvait se passer de cette scene stupide et lourdingue, je sais. Mais bon, c'est ainsi. Un rat deguisé en kalachnikov s'approcha de nos deux amis et leur dit : "Salut." Et puis il se tira pour aller bouffer au buffalo grill.
Jena-Frnaçios s'écria soudain : "à moi de vous faire préférer le train !!!" puis il se gratta le col de l'utérus et sombra dans un profon sommeil puis se réveilla brusquement et but une Heineken "c'est léger la Heineken, ça fait rince-cochon dit-il. René" réponduti que il fallait continuer. A force de tuer tous leurs enemmis mortels ils finiraient peut être pas gagner un feu d'artifice au village
ou alors peut etre le droit de passer la tondeuse sur le terrain de ping-pong de Fourques-sur-Garonne. Mais non ! Soudain jrentforançosi-jean sorti sa cornemuse et joua un air intitulé :
"Broutte moi l'gland lalalalala"
Un ours en tutu s'arreta devant Jean François et lui arrache sa cornemuse. René le tua. Puis il rendit la cornemuse a Jean François qui pleurait déjà misere.
Ils continuerent leur chemin, qui mene on ne sait toujours pas où. En fait. Plus personne ne sait de quoi ça parle a c't'heure ci. Ils avancerent quand meme.

Leur nouvelle mission allit être de donner un sens à cette histoire "Putain mais merde" dit René avec philosophie "C'est ce sale con de Mathieu P********e et cet abruti de Nelson D. Masson qui nous foutent dans la merde avec leur putain de scénario sans chohérence !" Alors ils sauvèrent la gonzesse, jean-françosi se tapa la gonzesse et René se tapa leur fille. tout est bien qui finit bien. Amen.

Le lendemain soir, Nicolas Sarkozy but un jus de mangue "miam c'est bon dit-il". René continua à marcher dans la grotte alors que jean-françsoi jouait de la cornemuse très fort boum dans un tuyau.
Tout à coup un globule rouge décida de réformer l'église communiste. Alors Claude François se tapa les couilles par terre, ce qui complexifia les flux de capitaux en 1924. la vie n'est pas si simple répondit Hitler. De "d"accord acquiesça nos deux héros. De retour à Marseille, ils construisirent auquel cas un
rayon laser mortel pour tirer sur l'amérique, vous savez, l'continent pas encore decouvert.
Aprés 2 h de contruction intense ils tirerent sur l'amérique. Mais au lieu de tuer un américain ça tua un indien. Va savoir. La Terre s'ouvrit en deux, comme pour chier un coup, et un enorme monstre orange a 3 tetes en sorti. C'etait le monstre finale a abattre ! Leurs derniers combat ! Ou presque. En fait, non. L'enorme monstre n'etant pas habituer a respirer, il mourra etouffu. Il se passera jamais rien de putain d'héroique dans cette foutu fan fic ?
Ils prirent la première femme qu'ils trouvèrent et la bukkakèrent pour se vendger ! Mais hélas ! C'était la femme du boulanger ! Elle leur pétrit les miches ! "de tant pis" dit une gomme à mâcher qui passait au loins. C'est alors qu'un escargot radioactif répondissutatit : Ah ouais mais c'est une fan fic sur le Roi Heenok ou sur rien du tout ? Nos deux héros se regardèrent dans le cheval et le
blanc des yeux et découvrirnet leur prèmeier lissonnde ajd. Ou encore leur première mission alternative. kikoo, lol, ASV ? dit un nain. Retourne jouer à Counter Strike et nous fait pas chier lui massicota Darkozy. franJean-çois lui offrit un saucisson à l'ail pour le remercier de par la récompense. René dit "ils nous faut trouver un sens à cette fan fic, donc un sujet ! Qui propose une idée ?
un oiseau bleu leva la main. oui "dit" rené ? L'oiseau exposa alors son plan scénaristicque :
Ils devaient recuperer un pot de rillette fumé a l'ail et capturer 300 pépé poulets pour les emmener dans un parc et regarder une biere danser avec un anus de hérisson mort. Ensuite la terre devrait exploser.
Ils s'executerent donc et la terre explosa
C'était nul dit Jean-François. "Ah b"on répondusiensissadotina de répondre René. Eh oui. Il préférait les sardines grillées. Mais comme les Shadoks, il leur fallut tirer la révérence et telle une tache de sauce tomate sur une chemise de flic, René conclut avec ces très jutes mots :
"Ta gueule enculé"
ouf ! enfin fini cette fic de merde se réjouit Nelson D. Masson ! un tel fourmillement d'idées absudes lui avait presque donné mal à la tête. Son acolyte décida de boire une bière et répondit :
"BuuuuUuuurrrpp

"Always Coca-Cola dit une vieille pub qui passait par-là. "j'en ai marre" ajouta Mathieu, on n'arrivera jamais à finir cette histoire, aucune fin n'est à la hauteur. Mais Masson eut l'illumination du siècle : hourra ! Je sais : on n'a qu'à demander à quelqu'un d'autre de faire la fin ! il viendra avec des idées fraiches et on foutra rien comme des chômeurs ! Monsieur Pi3'14159 exulta mais c'était dur de trouver un écriveur de fanfics sur msn, un mardi à deux heures du matin...
Le Seigneur de la Haine regarda dans sa liste de contacts en ligne et dit :
On verra ça demain, y aura plus de monde !
Mais Nelson D. Masson voulait finir le soir même. Ils décidurent donc d'arrêter là, comme ça, hop ! De toute façon, qui lirait jusque-là ? Hein ? Qui serait assez fort pour tout lire jusque seulement la moitié ? Non mais !!! Rambo 1 peut-être ?
Alors pour faire plus joli, René aiguisa sa hache et Jeafra-nçsoin joua un air de flutio.
C'était une jolie fin, même si avec un peu plus de moutarde
ç'aurait été un peu mailleur, mais que voulez vous personne n'est pafait !

C'EST LA VIE

HOORAY
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:14

"Mon Cocaïne Est Bien Cuit", l'histoire futuriste du soleil levant !

Un jour funeste, dans la prison de Tokyo en 2053, un idiot de gardien jouait à faire tenir son café en équilibre sur son nez pour impressionner les gens, quand tout à coup il glissa sur un rocher et s'explosa la gueule par terre. Mais malheureusement le café tomba sur le compteur éléctrique et la prison fut plongée dans le noir. Evidemment, un terrible tueur psychopate condamné à vie en profitu pour s'évadit !
Immédiatement, les deux plus fins limiers de la police japonaise, René Kitano et Jean-François Miyamoto, furent lancés à ses trousses pour une traque sans merci...

Ce redoutable tueur psychopathe, Jean Christophe René Bernard Barbatruc Dans Ton Cul tuait les gens a la catapulte, un peu comme dans braveheart. Et a Tokyo, les catapultes etaient interdites.
Maintenant qu'on en sait un peu plus sur le véritable méchant de l'histoire, reprenons là où en etait nos chers detectives, c'est a dire a la gare de l'est de Zanzibar. Vers Tokyo. En effet, nos deux héros, flics de choc de l'élite de la police incroyable de le Japon, étaient presque de avant en train de dormir un peu. Et d'un seul coup, le téléphone de René (l'un des deux flics, donc) sonna comme suit :
BLINGO !
Jean-François continuait à ronfler mais René décrochit et dit "Moshmoshi ?" (bah ouais on est au Japon d'abord) ce qui signifie "Allô". Son interlocuteur, de le chef de le commissaire de le commandant de la police de le Japon, lui tint à peu près ce langage :
"Salut Bobby, tu sais, y a ce tueur là, le psychopathe qu'il s'est evadé de la prison. Ouais ? Tu vois ? Bah on a appris des trucs sur lui. Ecoute bien : Ce mec ne parle pas un mot de japonais ! C'est ouf hein ? On est au japon et tout, carrément a Tokyo, et le seul prisonnier qui putain de s'evade de notre enculé de prison et bah y parle pas un mot de japonais ! Tu y crois René ? Tu y crois ?!"
René répondit : "Bakamono Shochô, je vous crois. C'est mon père qui a arrêté ce détenu et je connais son histoire. Cela nous mène sur une piste, car il va forcément devoir se rendre dans une librairie pour acheter un dictionnaire. Envoyez-moi donc par XX2VDBMS (c'est comme un SMS, mais en 2035) les coordonnées de la librairie la plus proche de cette prison !"
Deux minutes plus tard, VROUM ! René conduisait à toute allure en direction du point donné, avec Jean-Fançois son acolyte de le partenaire de la police qui roupillait toujours, mais sur les sièges arrière. Soudain, une mémé reveilla Jean François en lui rotant dans l'oreille. Ce dernier qui n'aima pas ce genre d'attitude, lui cracha son chewing gum gout âne/saké au visage. René lui disa sur un ton harmonique plein de trous : "Tu sais mon bon ami Jean François Miyamoto, ce ne sont pas des manieres de traiter une vieille dame". Sur ce il sorti son fusil a pompe a aura rouge et acheva la vieille dame d'une cartouche dans la bouche. Jean-François, qui était en fait en pleine crise de somnabulisme, fut aussitôt tiré de son sommeil par le cri étrange des balles laser de son René d'acolyte (on est en 2048 les gens). Il regarda René et lui dit sur un ton de préservatif au réglisse et au citron : "Ohayô gozaimass !" ce qui signifie environ "joyeuse matinée !". René Kitano lui expliqua donc tout (ce qui se résumait sans difficulté), ce qui fit bondir Jean-François sur son siège ! Il se cognit donc au plafond mais déjà la voiture de René atterrissait (bah ouais, on est en 2061, les mecs ont des voitures volantes) et ils foncirent dans la librairie, mais bien évidemment, le tueur leur avait déjà faussé compagnie, ayant emporté tous les dicos. Comme c'était quand même un enculé de le pervers de le psychopate, il leur avait laissé un message codé, encore pire que les énigmes de le Ouverture Facile, oualalaradime. Ce message disait à peu près ceci :
"poum tchac poum poum tchac, poum tchac poum poum poum tchac tchac poum j'manjdupor glaglaorougi samurai poum tchac sei sei sei ! V'nez m'chercher, je suis sur le parking d'auchan." Jean François regarda son collegue en grattant les poils de couilles qui lui poussaient au menton. René lui disa : "Mon ami, je crois que ce tueur est fou ! Fou, oui ! Mais malin a la fois ! C'est une enigme, mon cher, une enigme ! Il est surement parti a Akihabara, s'acheter la nouvelle playstation 3!"
Jean-François trouva cela absurde ! Lui avait compris que le tueur était en train de manger un sandwich au thon en place publique pour lutter contre le McDonald's de la place Etchi, cela afin que le fantôme de José Bové mange son short afin de comprendre pourquoi dans l'évangile selon Saint Marc chapitre 5 verset 9, Légion prétend qu'il est plusieurs alors qu'il n'a de toute évidence qu'une seule couille. Kitano-san et Miyamoto-san se regardèrent dans de le blanc de les yeux et s'exclamèrent : MAIS EVIDEMMENT ! Il suffit de recouper nos informations, et la solution est évidente ! Il est en fait dans l'métro, tranquille, en train de savourer un raamen instantané tout en regonflant sa catapulte discret, dans le but avoué de tuer des gens avec !
Ils se regardèrent de nouveau et s'exclamit : IL FAUT FAIRE VITE ! Tout d'abord, nous devons trouver le moyen de remplacer cette ampoule ! C'est fou ce qu'il fait noir dans cette cave a vin, enfin cette bibliotheque. Ou Auchan. Oh, et puis au diable là où on est ! Nous devons rattaper ce malade ! Vite ! A la batmobile !"
Sur ce un pingouin s'exclama "Mangiare una lumaca piccola !"
Ce que Jean François faisit avec ardeur. Il pris donc le volant tandis que René s'installa sur la banquette arriere avec une vodka martini bien glacée. Jean François metta la radio : "Bienvenue sur radio france ninja ! Pour commencer notre belle matinée, voici un tube de michel polnareff remixé par maitre Hanzo Hattori". Et tout deux chanterent en karaoké, sans se rendre compte que c'est quand même difficile le karaoké à la radio, surtout pour lire les paroles. Mais bon, on est déjà plus à ça près. "Hattori sensei est quand même très fort !" remarqua Jean-François. Ouais bon ça va, on va pas y passer la Noël répliqua Jean-François sur un ton d'électroencéphalogramme en dentelle. Bref, ils arrivèrent dans le Metro de Tôkyô où le contrôleur les invita vivement à manger un caniche. Une fois repu, René dit tout de go : bon, maintenant on repère le tueur. Evidemment, il reçut un message radio lui signalant des morts sur la ligne A3B5. "touché coulé" dit Guy Lux. "veut-tu sucer ma bite" répondit Donald. Et c'est ainsi qu'ils arrivèrent encore trop tard, des gens défoncés à la catapulte gisant sur de le parterre de le sol de le metro. Mais ! Qu'est-ce donc ? Jean-François avait repéré un objet au sol ! René s'écria : "c'est une capsule de Lasse Gjertsen ! La bière préférée du tueur !!! Autrement dit, un nouvel indice, car car le tueur, on le sait déjà, aime siroter sa biere Lasse Gjertsen avec une bonne tranche de saucisson de samurai ! Ce meme saucisson que tu as dans la poche de ton kimono, mon cher Jean François !"

Jean-François fut abasourdi de par le en effet !...
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:15

"Mon Cocaïne Est Bien Cuit !" : suite et fin.

René recommencit à ouvrir la bouche pour dire quelquechose mais il n'en eut pas le temps, déjà son bling-bling de police lui annonçait un nouvel appel de son chef. Il décrochit et son chef lui annonça d'une voix tendrement saucisson : "les gars, on a du nouveau ! Il semblerait que la mère du tueur se soit suicidée à la catapulte lorsqu'il était trés jeune !"
René raccrocha. C'en était trop. Tout cela ne voulait rien dire. Comment une catapulte peut elle passer inaperçue dans le métro ? Et comment peut-on se suicider avec ? Tout en mâchant un bouchon de stylo bic, il disa à Jean François : Je pense que le tueur utilise une catapulte miniaturisée grâce à la technologie ultramoderne qu'on ne trouve qu'ici, au Japon. C'est pourquoi il s'est fait arrêter ici, en train de trafiquer je ne sais quoi avec des industries véreuses. Il n'a pas supporté le suicide de sa mère et maintenant, sa raison de vivre est de tuer des gens à la catapulte... je suppose que pour l'esprit d'un fou dangereux, cela n'est que pure logique. Alors ce que nous devons faire à présent, c'est trouver des kinders chocobons. J'sais pas pourquoi, mais je reflechis mieux en m'empiffrant de ces saloperies. Ensuite nous irons a la recherche du tueur. De toute façon nous avons suffisament d'indices maintenant, pour savoir qu'il se cache dans une cave, à 2 kilometres d'ici. Alors ne perdons pas de temps, cher Jean-François et allons droit au supermarché ! Vous n'aimez pas les kinder chocobons ? Cher collegue ?"
Jean François répondit que non. Lui, il n'aimait que les Kinder Schoko-bons. Maiiis gros con, cesserez-vous un jour de vous moquer de mon pauvre défaut de prononciation ? Ils partirent donc acheter des Kinder Schokobons spéciaux fourrés à l'alcool de chat pourri. Mais en sortant du supermarché, quelqu'un leur tira dessus !
C'était en fait le Roi Heenok, qui, en voyant René, pensait flinguer un jeune pédé.
Jean François disa alors : "Mais ? Qu'avez vous donc fait, sombre fumiste en bois ?"
Le Roi Heenok, lui même en personne lui réponda : "Mon cocaïne est bien cuit".
René se releva, l'air de rien, avec un peu de mayonnaise et sur le ton d'un commissaire :"Bon sang, mais c'est bien sûr !".
Comme pour ponctuer cette phrase magnifique, Jean-François mangea un chocolat. Vous avez raison cher collègue répondit-il. Et c'est ainsi qu'ils confièrent l'affaire à Roi Heenok, qui partit à la recherche du tueur. "Ce est d'une facilité déconcertante" s'exclama René sur un ton de gros kebab en marbre. Mais Jean-François reçut un appel sur son bling-bling de flico, une autre mission pour nos deux héros ! C'était le chef de la police d'Oosaka qui avait besoin d'eux pour retrouver un trisomique evadé de prison, qui cherchait absolument a se rendre en hollande pour y manger une pute et niquer un bon morceau de fromage comme ils savent si bien le faire. Mais cela ne plaisa pas a Jean-François qui prefera regarder l'integrale de Zatoichi sous titré roumain, en famille. René lui tapota l'epaule pour lui dire : t'as bien raison frérot ! Moi aussi, si j'osais, je... Mais,
BLONGI !
Le commissaire les rappela à l'ordre, en effet Roi Heenok, aidé de Kinimod et Ugoboss, avait capturé le terrible Catapluto Killer Man (son surnom) et avait été engagé à leur place dans l'élite de la police pour remplacer ces deux goinfres. Jean François dit "ah bon ? ...je m'en branle." sur un ton de Maya l'Abeille déguisée en Adolf Hitler pour la fête de fin d'année du loto des vieux de Nogent-le-Rotrou. Mais René n'était pas d'accord et décida d'emporter son acolyte dans une terrible vengeance ! Et c'est ainsi que le père Noël déguisé en rat déguisé en kalachnikov déguisée en hippie décida de détruire le monde a coup de bite. Jean François et René etait parti déjà bien loin, quand tout a coup ils ressentisserent une secousse sismique. En fait, ce n'etait de le portable de René en mode vibromasseur. Jean François reponda en disant : "putain z'en avez pas marre de nous téléphoner ? on a une enquete a terminer et un tueur a la catapulte a trouver, alors, qui que tu sois, toi, au bout du fil, meurs au fond d'une grotte !"
Il raccrocha, et rangea le portable de là où il viendait, tout en le remettant en mode vibromasseur. Cette fois il fallait en finir avec cette histoire monegasque et éléphantesque de la bite. Ils deciderent donc d'aller au McDonald's afin de parfaire leur réputation de goinfres sans scrupules. Et c'est là qu'ils virent le tueur, en train de manger un McCatapulte, tranquille dans son coin. Ouais parce qu'ils s'était réévadé depuis que le Roi Heenok l'avait capturé, car en fait le Roi Heenok n'avait arrêté personne, il avait juste fait fumer marijuana coke et crack au chef de la police qui avait pris ses rêves pour des réalités. Ils prirent donc un Maxi Best of Royal Cheese avec des Deluxe Potatoes et de la binouze. Je suis vraiment un connard de faire de la pub comme ça mais bon, on ne se refait pas. Soudain, le Capitaine Haddock entra dans le restaurant, accompagné de Guillaume Sarkozy et de la petite sirène. Le tueur s'exclama alors : "maman ! maman c'est toi ?".
L'assemblé fussoit abasourdi tandis que le tueur regardait le capitaine haddock. Ce dernier reponda : "Non non, je ne fais que passer, ne faites pas attention a moi." Cependant Guillaume Sorkazy intervena : "Micheline, il est temps que tu dises la vérité a ta fille." Il se tournoya vers le tueur et lui dit d'un air de philantrope defoncé au crack : "En effet, Jean Christophe René Bernard Barbatruc Dans Ton Cul, c'est ta mere"
Le capitaine hoddack rougissa et avoua enfin : "Oui, Luke, je suis ton pere"
Hourra ! répondit l'immonde tueur de catapultes d'un air de camion-benne en plastique réformé à la vanille.
Et il décapsula une de ses fidèles Lasse Gjertsen.
"C'est ma tournée" dit-il à la belle-soeur de Pinocchio. Saucisson de samouraï pour tout le monde !
"De bravo" !!! hurla Jean-François qui évidemment après s'être goinfré de son sanwich au menu devant cette scène pathétique même qu'il a piqué trois frites à René, avait encore faim (si vous trouvez cette phrase mal construite, vous n'avez qu'à essayer de faire mieux). Il ajouta :
"Dantonku-san, vous avez gagné ma confiance." Alors, ils partirent tous dans un beau sous-marin à base de merguez en gelée grecque à Oosaka, la ville où tout est possible (même découter du Dimmu Borgir un mardi soir en mangeant un Chawarma et en se grattant le genou gauche, j'te raconte pas). Ils sortirent une fois arrivés et un homme vêtu de latex noir les accueillit en criant sur un ton de casse-noix en forme de pantoufle : "FUUUUUUUUUUU !!!! SEI SEI SEI !!!! HAJIMEMASHITE !!!!" ce qui signifie bienvenue dans le dialecte du Kansaï. Cet homme était Hulk Hogan Sumitani, le fils adoptif de Razor Ramon Sumitani ! Par conséquent, René dit :
"Banzai !" en se prenant pour un moule a gauffre a l'envers, puis il entonna un air de Columbo en suçant un katana a trois lames inversées. La petite sirene qui avait suivi tout le groupe de joyeux lurons a travers la Seine, commanda une sucette a la corne de bouc sur internet. Pendant ce temps Jean François qui flirtait avec Guillaume Haddock, petit frere par l'ami de son cousin Johnny du Pere Noel annonça a tout le monde qu'il se retirait dans les montagnes du japon pour y etudier la lecture avec nicolas et l'ours mathurin qui se trouvait là, a cueillir des couilles de martien dans un champs bizarre.
Tout le monde sembla d'accord... sauf Jean-François évidemment. Il dit à René de regarder son agenda. Et merde ! Ils étaient attendus le soir-même pour manger un livarot dans un hôtel de Tokyo avec le fantôme de Jean Gabon.
Caroline fait la cuisine.
Pendant ce temps, dans le royaume voisin de Corée il était une fois une grosse princesse qui aimait sucer des fraises, ce qui lui avait valu le surnom cocasse de : Yolande. En effet, c'était pas si cocasse que ça. Mais bon, c'est de l'humour coréen. Les coréens sont des gens bizarres vous savez. Y en a qui se laissent crever devant leur ordinateur et d'autres qui foutent leurs enfants au frigo. Bref. En tout cas, cette princesse qui n'avait rien à voir dans l'histoire se suicida avec un pharmacien de poche qui s'enflammi.
Du coup Jean Gabon, le fantôme disa au monde entier : "Ta tata et ton ton tonton me courent sur les roustons"
René trouva tellement ça d'un élémentaire mon cher watson, qu'il en ajouta : "Ventre Saint Gris, j'devates recoiffer mon hanneton pour qu'il penetrates ton cul cher Jean Paul". Ce qui ne voulait absolument rien dire, remarqua Jean François. Ce dernier se disa d'ailleurs que son ami etait bourré et qu'il devait plutot se concentrer sur son match de tennis. En effet, un sport populaire dans le Japon du futur était le tennis par télépathie. René saisit un couteau, le brandit et découpa une rondelle de citron vert qu'il offrit à Jean François (vous croyiez qu'y allait avoir du sang hein ? bande de niais). Ce dernier offrit en retour une fleur en origami qu'il confectionna en un tournemain. Monsieur Chirac, vous devriez changer la moquette, dit un appareil photo Mercedes Benz qui passait par là. René répondit : mon nom est Kitano, et Canon c'est d'la merde. Achetez Nikon ! Jean François fut choquit et se retournit puis il disa : achetez Pentax ! " 15-40 dit l'arbitre sur sa chaise dans la tête du policier (vous suivez, hein !?).

Quelque part au Venezuela, un harmonica de carotte dépressive fut tué à la catapulte, et tout fut à recommencer.


FIN.

©️ Nelson Dorian Masson / Mathieu Pierreville @ Nouveaux Artistes, inc.

Et, oui, nous en sommes fiers !!!!!!!
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:18

"Un Hydroponique peut en cacher un autre !"

Tout à coup, un sombre fumiste a oublié d'écrire le début de cette histoire. Nos deux héros se retrouvèrent alors à la Porte d'Italie, devant un conducteur de motocrotte unijambiste. Il leur dit alors, d'un air vaguement déconcentré : "J'ai mis un mentos dans mon whisky coca".
Nos deux héros furent choqués par ces propos. En effet, il est inadmissible de mélanger le whisky avec le coca. Ils défoncèrent donc l'unijambiste motocrotteur a coup de carte-mère de pc vieux de plus de 15 ans.

Ils volèrent ensuite le carburateur de sa motocrotte et s'en servirent pour défoncer une vitrine de fleuriste pour chiens. "Quand je vais raconter ça à ma femme !" répondit Jean-François. Mais une sirène de vaillant moutardier résonna dans l'air trouble de la capitale ! René sauta sur un trampoline en forme de lampadaire généraliste mou et s'écria : "Hier, j'ai mangé un pot de fleur". Ce à quoi Jean François répondisa : "Putain'g, enculé, ça veut rien dire. Essaye de rester compréhensible, au moins pour les premiers paragraphes !".
Sans attendre, René se transforma en Jean-Luc Delarue et continua son récit : " J'ai entendu dire que le Roi Heenok était de retour. Et a c'qui parait il est vachement remonté, car l'autre fois, si je me souviens bien, on l'avait coffré avec cette espèce de princesse inutile qui avait un pharmacien de poche qui s'enflammit". Jean François, qui avait une narine autour de son doigt, réponda : "Ah, ouais, ouais, bof. Reparle-moi du pot de fleur, c'était plus puissant. Et enlèves immédiatement cette oreillette ridicule." René voulut répondre, mais un rat déguisé en escargot déguisé en chinois déguisé en caniche abricot éternua dans un collier rempli de zircon. Ils partirent donc à la recherche d'un orgue de barbarie vendant des joints d'étanchéité pour conduit d'évacuation de climatiseur de morgue pas chers.
Mais en remontant la rue des cinq diamants, ils tombèrent dans une embuscade ! C'était le barbecue à truelle incorporée. Le Président de la République les rappela a l'ordre depuis le journal télévisé Suisse : "Jean-François, René ! C'est sérieux ! Mort à l'absurdité, prenez un rail de coke et traquez moi ce Roi Heenok ! Cette ordure de terroriste propagande américaine la dose la mixtape t'inten'gs négro".
Nos deux amis étaient coincés. Ils étaient obligés d'être intelligents pour au moins deux paragraphes. C'est alors qu'ils décidèrent de suivre le conseil de Nicolas Sarkozy, comme ça, pour casser le mythe. René, en se grattant la nuque, répondit: "Quel mythe ?". Jean-François expliqua : "Celui selon lequel nous nous sentirions obligés de faire n'importe quoi et des trucs." René prit alors son air sérieux en réajustant son chapeau élégant. Jean-François chaussa ses lunettes pour faire encore plus sérieux, et héla un taxi.

"Nous allons à la tour Eiffel", indiqua-t-il au chauffeur d'origine vraisemblablement pakistano-malienne. Le véhicule démarra dans un agréable crissement de pneus. "Pourquoi allons-nous là-bas ?" chuchota René. Jean-François le regarda à travers ses lunettes et lui tint ces propos : "René, mon ami, posez moi ce tournevis a caniche et approchez vous". René s'approcha et Jean François lui révéla toute la vérité, l'entière vérité, la seule vérité : "Notre chauffeur, regardez le bien. C'est celui qu'on cherche depuis au moins trois histoires. Oui. C'est bien lui. Non, ne dites rien. Il risquerait de se méfier". René, décontenancé et complètement bouleversifié par la révélation de son collègue hurla alors : "Jolene ! I'm begging you, please don't take my man !". C'était, vieille feinte, le refrain de la chanson qui passait à la radio. La chauffeur monta alors le volume pour faire plaisir, et nos deux héros purent discuter sans risquer d'être surpris. René reprit : "serait-ce le Roi Heenok, en personne ?"

Jean-François leva un sourcil et reprit : "Non, ce serait trop facile. Le Roi Heenok est reconnaissable à son bonnet péruvien de 3 m de long. Non, cet homme est Super Ladj Ly, le chauffeur des Wanted Brothers !". René leva un sourcil en écho : "Ah bon, mais quel rapport avec l'hydroponique ?". Jean-François parut décontenancé à son tour. Il venait de remarquer que le chauffeur n'allait pas du tout vers la Tour Eiffel, mais en direction de de la ville natale du Roi Heenok , ou plutôt de son quartier : le Queens. Et là, z'allez m'dire "Mais comment on passe de Paris a New York ? " Ce que a quoi Jean-François Le Blanc de la Valliere, déguisé en Ugoboss rétorqua : "Tu peux pas test".

Nos deux enquêteurs se retrouvèrent donc en plein Istanbul, au niveau du quartier du chiche kebab enchanté.
A peine René allait-il ouvrir la bouche que déjà Sarko lui envoya un SMS : "alors, pas cap de rester sérieux deux paragraphes, hein !"
"Ouais oh, pour quoi faire d'abord ?" dit René dans le vent. Jean-François l'attrapa par la manche et l'entraîna dans les souks de Marrakech. Ils marchèrent longtemps dans un souterrain étrange sentant le couscous et les merguez à la harissa et finirent par ressortir du tunnel, qui donnait dans un kebab restaurant du quartier La Chapelle. René se frappa le front et s'écria : Pause !

Alors, la réponse est que le cercle n'a pas de commencement.

Carrément.

FIN.
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:21

ENFIN, UNE HISTOIRE D'AMOUR ! "TRIPLE SPÉCIAL BITE", Par les très terribles Nouveaux Artistes... :


Il était une fois, dans ton cul, un boulevard étrange dans lequel habitaient des gens bizarres. L'un d'eux se nommait Gérard Miller et il était amoureux d'une antenne parabolique bleue nommée Susie. Un beau jour, pour la demander en mariage, il décida de lui offrir une pelleteuse, mais sur son chemin il rencontra un SDF cinglé qui lui dit a voix basse : "Euh mec... c'est un tractopelle que tu veux lui offrir et pas une pelleteuse". Gérard Miller regarda le SDF d'un air d'autoroute. Et si il avait raison ? Et si elle préférait les tractopelles aux pelleteuses ? Et d'abord qu'elle est la différence entre un tractopelle et une pelleteuse ? Vous la connaissez vous ? Non, c'est pas à toi que je parle, toi l'employé des BTP, mais à toi lecteur lambda et probablement défoncé aux LSD si tu es en train de lire ça. Gérard Miller n'avait plus qu'une envie. Il voulait voir un cul. Là, tout de suite. Alors il fracassa la vitre d'un magasin de porno qui passait par là pour voler le dernier "Vieille et Nue magazine" avec supplément oignons, avant de s'apercevoir de sa terrible errreur : ce n'était pas un magasin de porno, mais un magasin de robinets ! Eh oui mais mainenant, misères du désir, on met une femme à poil sur n'importe quelle pub, que ce soit pour vendre une bagnole à la con ou de l'huile d'olive en tube hermétique. La confusion est donc compréhensible...
L'alarme du magasin de robinets retentit bruyamment, et une horde d'éléphants en costume accourut alors en hurlant des slogans tels que : "Gérard Miller, mont'nous ton cul !" Il se retourna, et d'un geste brusque il saisit un robinet pour le lancer sur Herbert Léonard qui s'appretait a partir en concert pour la maison de retraite des Hirondelles. Les éléphants, trompés par Herbert Léonard maintenant déguisé en rat, prirent la fuite. Tout était rentré dans l'ordre. Gérard pouvait dés à présent partir à la recherche du psychopathe qui tuait avec sa bite. Mais avant celà, il tenait avant tout à offrir le tractopelleteuse a sa dulcinée.
Un airbus A380 s'écrasa sur New York.

Le psychopathe qui tuait avec sa bite était en fait un train de marchandises déguisé en caniche déguisé en malaxeur de crème glacée déguisé en tueur psychopathe. En plus, il n'avait tué personne. Mais bon, il aurait pu. En plus il a une sale gueule. Et pourquoi on pourrait pas tuer des gens avec la bite ? Nos deux héros partirent donc à la recherche d'une fourchette très spéciale... Cette fourchette était à vrai dire une sorte de tube qui lance des balles en pique. Gérard Miller, qui avait suivi attentivement l'histoire depuis le début, se demanda : "Nos deux héros ?! Mais qui est le deuxième ?" Soudain, un nain pédé excédé par l'abus d'aliments dits "light" apparu derrière lui et lui tapa l'épaule. Puis il lui sussura à l'oreille : "Le second héros, c'est celui qui est à côté du premier !" La confusion troubla l'esprit de Gérard Miller qui ne voyait pas du tout qu'est-ce que deux prétendus héros venaient faire dans cette histoire, d'autant plus qu'ils ne s'étaient même pas présentés, et cela est un pinacle de goujaterie ! Il se saisit d'un téléphone mais le téléphone se déguisa en moine bouddhiste déguisé en palourde déguisée en pipi de chat déguisé en feu de forêt déguisé en vessie de porc, ce qui complexifia quelquepeu la saisie du numéro. Au bout du fil, une voix demanda "Central Rive Sud j'entends ? Qui est à l'aut' bout du combiné récepteur ?" Gérard Miller prit alors une voix de gros martien au chômage et expliqua :

"Je vais vous dire ce que j'en pense : Ceci est une bite. Une grosse bite." Puis il raccrocha d'une façon peu commode et vachement placard à balai. Un accordéoniste aveugle s'approcha prudemment d'un tyranosaure. Gérard Miller repris son chemin, laissant nos deux héros derriere lui. L'un d'entre eux se mit alors la tete entre les mains puis regarda vers le ciel. L'autre lui dit : "Ne t'en fais pas va, j'vais arranger tout ça". Il prit donc une autruche a ressort et s'en alla sur la Lune. Un moment plus tard, un canard qui se faisait sucer par une araignée déclara a la presse internationale :
"Non je n'ai rien à cacher ! J'assume mes fantasmes et voilà tout ! Que les jaloux aigris qui me critiquent avec la haine de leur coeur sec sachent que je ne changerai pas ma manière de vivre pour me conformer à leurs carcans moisis ! Ah ça, non ! Super Didier dans le buffet, prout !" Et ce qui est bien dommage dans cette triste histoire, c'est que ladite presse internationale ne retint que la dernière phrase de cet émouvant discours, cette ruse étant animée par l'intention non dissimulée de faire passer le canard pour un demeuré aux yeux du monde entier afin de s'attirer les faveurs des producteurs d'oranges. Et justement, Roger Edmond Berzerk Christian Wallace, le plus grand producteur d'oranges de toute la Californie du Sud, décida de s'acheter un tractopelle pour cueillir des fourchettes à chapeau qui poussaient dans son jardin. Cette étrange coïncidence provoqua la fureur de Guy Lux, revenu de l'Enfer l'épisode précédent, qui attaqua toute la Floride du Nord a coup de bombes au napalm. Parfait pour éradiquer les zombies, se dit-il. Pendent ce temps, René se cura les dents avec une carte postale en attendant que son ami Jean Francosi redescende de la Lune où il etait perché avec une pelleteuse habilement déguisé en autruche. La Mort intervint et, d'un coup de bite bien sec derriere la nuque, emporta Gérard Miller avec elle dans l'autre monde. Cette histoire n'ayant plus de personnage principal, Jean Francosi redescenda de la Lune avec la ferme intention de devenir le Président. René était abasourdi. Il lui paya le taxi.

A un moment donné, le Président Charles de Mitterrac se douta de quelque chose, car il savait comme chacun sait que René ne payait jamais le taxi. Car René voue une haine tenace en subliminalement saumonée aux taxis depuis sa mésaventure dans le quartier du kebab enchanté ! Cela éveilla donc les soupçons de Scotland Yard, qui décida de confier l'affaire à leur meilleur lieutenant en France, qui n'était autre que Jean-Francosi en personne, qui deva donc se charger de réaliser une enquête sur lui-même pour s'empêcher de devenir Président lui-même. Mais comme il ne s'avait pas comment s'y prendre pour se surveiller lui-même, il décida de demander conseil à Nicolas Sarkozy, qui, du haut de ses 1m58, se permit de prendre Jean Francosi de haut. Et de lui tenir ces propos : " Tu ne deviendras jamais Président, tout petit fils de pute que tu es. Jamais tu entends ?! Jamais !" Puis il ajouta d'un air de choucroute qui fait péter : "Ma chaise sent la banane". Puis il s'éclipsa chez John Lennon déguisé en canette d'Orangina. Jean Francosi resta de marbre. Mais René qui avait assisté a toute la scène ajouta : "Mais qu'est-ce qu'il dit le petit enfant ? Il a l'air bien énervé ! Je lui préconise un traitement à base de bite et de marmelade polonaise !". Ce que personne n'avait compris, c'est que, si vous suivez bien, l'histoire se passe dans ton cul. Jean-Françosi voulait donc devenir Président de la planète Mars. Et non pas de la France. Regrettable confusion. Bobby Vanuatu, qui passait par là, expliqua que le but de la manoeuvre était simplement de simplifier les choses. René lui répondit sur le ton d'un doryphore nazi en période de rut : "Il a dit KAPOUÉ !". Bobby lui colla alors un pain dans la gueule.

Tout à coup, l'accordéoniste aveugle ouvrit son grand manteau pour montrer sa bite au tyrannosaure ! Le reptile trouva cela vraiment trop obscène et lui jeta une balle de tennis en plein dans sa face. Évidemment, l'aveugle, faisant comme si il n'avait rien vu, s'écria :
"Oh excusez-moi, je ne vous avais pas vu mon cher général". Plus tard, l'aveugle et le tyrannosaure se marièrent.
Jean-Francosi en profita pour faire une annonce : "J'ai une vieille brouette a vendre." René se saisit de l'enquête et d'un paquet de chips, puis il déclara a Jean-Cadastre, son caniche gorille déguisé en plantation d'hydroponique déguisé en champs de nodz, qu'il préférait nettement les boules de geisha. Un an plus tard, nos deux héros étaient de retour de l'Enfer, prêts a mener l'enquête. A un moment donné : une bite énorme.
Une bite énorme, qui, comme on pouvait s'y attendre, provoqua la tombée de la nuit déguisée en Bescherelle déguisé en fruit mou déguisé en hirondelle d'Afrique déguisée en kérosène déguisé en jeune lesbienne anorexique qui fait des tours de magie à la con. Du coup, je ne sais plus où je voulais en venir. Ah si : le tour de magie était en fait déguisé en flamme grecque déguisée en avion fumiste déguisé en pull jaune décoré de géraniums horribles déguisé en balle de golf pacifiste déguisée en hippopotame généraliste mou de la bite et vraiment très très clou de girofle. René cria : Je crois qu'on va perdre un demi lecteur sur ce trip déguisé en tong déguisé en koala de merde déguisé en acteur de film porno ! Jean-Françosi répondit que ah bon. Gérard Miller surgit alors, revenu de l'autre monde pour conquérir un caniche complètement nul déguisé en acteur dramatique hétéro déguisé en rouleau de réglisse déguisé en carte périmée déguisée en raton laveur déguisé en arabe qui tient une blanchisserie déguisée en lavoir à balais déguisé en Alain Soral qui boit du café au lait froid déguisé en hachis parmentier mécontent ! Par le fait même, Astérix s'écria : "A moi la triple spécial bite !" Il attrapa un menhir déguisé en roumain déguisé en vélo puis se mit a le sucer frénétiquement. Sébastien Chabal, qui passait pas vraiment dans le coin mais plutôt a une dizaine de kilomètre d'ici, rota dans l'oreille d'un Pascal Obispo miniature déguisé en Patrick Bruel grandeur nature. Le néant rattrapa bientôt cette sombre histoire tandis que le tueur, lui, continuait son massacre a coup de bite. Peut-on réellement tuer les gens avec la bite ? Une araignée qui se faisait fourrer par un furet dans la forêt secoua la tête pour dire oui. Un parpaing se suicida a l'envers.
Le tractopelle du début de l'histoire, si par miracle vous vous en souvenez, devint fou de rage d'apprendre le suicide de son ami le parpaing el il se mit alors en tête de venger cette mort atroce et néanmoins très fripone. Il se déguisa alors en avion filandreux et hurla d'une voix de charlotte à la framboise dégueulasse : "VENGEAAAAAAAANCE ! VENGEANCE ET MORCEAUX DE SUCRE !!!". Ce terrible cri de rébellion réveilla un clochard fou qui décida promptement d'aller se cacher dans la roue d'un taille-haie à compresseur nucléaire. La Princesse en avait marre. Elle devait absolument sortir de ce donjon pour retrouver son doux prince charmant. Quand soudain, elle fut tué par une bite.
René et Jean Francosi décidèrent donc de ne super pas mener l'enquête, préférant se la super couler douce tout en se déguisant en inuit déguisé en coupe du monde. Un homme de taille moyenne péta dans le cornet a piston de son oncle. Ceci déclencha une guerre Sainte par là bas. Un endroit bien éloigné, en tout cas. René haussa les épaules. La fin semblait proche. Alors ce qui devait arriver, n'arriva même pas. Putain.
Bobby Vanuatu fut vraiment très énervé, tellement énervé qu'il décida que l'histoire était finie !
Comme ça !
Ouais !
Et si vous n'êtes pas contents, vous n'avez qu'à imaginer une suite et une fin aussi à chier que le permettra votre cerveau malade.
Morale de l'histoire : Vous n'êtes tous qu'une bande de grands singes inassumés !

FIN (ouais. allez tous vous faire enculer).
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Message par Alca//122 Jeu 27 Déc 2007 - 20:23

"Caniche has been added to the conversation." Nouvelle fanfic à trois mains. Non, six, pardon, héhé.
Bref :


Il était une fois dans un pays ou il fait bon vivre quand on est un riche propriétaire de caniche a poil roux, un homme pauvre, fils de bulldozeur qui s'appelait Trabadja Bonno. Cet homme était le plus grand agriculteur de toute la région, il n'avait pas son pareil pour faire pousser de magnifiques champs de nodz même pendant la saison sèche. Mais un jour, on toqua à sa porte. C'était Jean Gloumoug, son ami d'enfance déguisé en chaise de jardin, qui lui proposa d'aller acheter des bigoudis en forme de cochon déguisé en parapluie. Cette histoire commençait bien. Very Happy

Mais sur la route, ils rencontrèrent Hortense, une amie d'enfance, fluffeuse de profession et chiante par nature, ainsi, elle leur proposa une pipe qu'ils acceptèrent par politesse. Le drame venait de commencer, Hortense était incapable d'achever le travail, profession obligé, frustré les deux homme durent compenser le manque en sodomisant une commode Louis XV, quelque part dans une horloge déguisée en mime déguisée en xylophone déguisée en immeuble de bureaux. Une fois calmés, Jean-Gloumoug commanda une pizza, leur pizza préférée, avec des petits bouts de boudin macérés dans du gruyère fondu. Quand le livreur arriva, il leur dit : "Eh, j'vous connais vous ! Vous etes le fameux detective René D4 et Jean-Françosi Premier !".
Trabadja, qui était en train d'écarteler Hortense avec une pelle et une boite de canigou lui répondit "Tu dois faire erreur l'ami, j'ai bien un cousin qui s'appelle René qui a un ami qui s'appelle Jean Françosi et qui aiment tout deux se déguiser en chose qui se déguisent en d'autres choses mais c'est surement pas nous ! Notre histoire sera bien plus intéressante, oh la ! Ouais ! Et que veux-tu au juste ?".
Jean Gloumoug acheva Hortense d'un coup de pot d'herbe a chat bien sec derrière la nuque et ajouta : "Oh, regardez, un Colibri !". Mais ça n'en était pas un, c'était un Char russe déguisé en pirate déguisé en pomme de terre déguisé en sèche-linge déguisé en colibri. Quand les deux hommes le virent, il était trop tard ! Il en sorti trouze nains de jardins déguisés en Rambo déguisés en ninja qui hurlèrent : "NOUS N'AVONS AUCUN PROBLÈME !!! NOUS SOMMES ENCHANTÉS DE VOUS RENCONTRER !!! NOUS VOUS SOUHAITONS UN AGRÉABLE VOYAGE !!!". Puis ils commencèrent à se tuer entre eux avec une fureur parfaitement inhumaine. Jean-Glamoug, qui comme si de rien n'était s'amusait à mettre des smileys entre parenthèses, s'écria soudain : "C'est Jean Gloumoug !"
"Ouapos", répondit un type bourré qui buvait des parpaings en épluchant des frites. Jean Gloumoug le regarda d'un air attentionné, comme hypnotisé. Jamais il n'avait quelqu'un aussi bien éplucher les frites tout en buvant un parpaing et en se faisant sucer par un hélicoptère. La grand-mére de Trabadja réalisa soudain, qu'elle non plus n'avait jamais vu ça. Puis elle moura de vieillesse. Trabadja, qui avait décidément un nom de merde, en fut tout émoustillé. Il décida de rejouer l'intégrale du best of de Cindy Lauper au xylophone, pour oublier sa peine.

A ce moment-là John Travolta posa son jet près de chez la voisine et il en descendit le jeune Mouhamad Diambélé qui époustouflé par l'adresse de l'éplucheur de frite buveur de parpaing ne pu s'empêcher de montrer a tous sa propre dextérité dans le débouchage de parpaing avec les pieds en dansant le zouk sur la tête. Il pensait qu'un tel prodige lui ouvrirait les portes des cabarets qui lui ouvrira it les portes d'un nouvel emploi qui lui ouvrirait les portes de l'argent qui lui ouvrirait les portes de la banque qui lui ouvrirait les portes de l'hôtel qu'il achèterait pour réaliser son rêve et devenir une bite, oui, tout simplement une bite, ceci afin de se déguiser en cercueil déguisé en profiterole déguisé en parc naturel déguisé en bruit de tondeuse, afin, tout naturellement, de séduire une perruque aveugle fan de Jean-Luc Lahaie. On a déjà perdu 3 lecteurs déguisés en mecs qui ont rien d'autres a foutre déguisés en branleurs, dit René. devant l'air ahuri de Jean-François, il précisa : c'est ce qu'on me dit dans l'oreillette. Jean-François beugla : " JEAN-LUC DELARUE, SORS DE CE CORPS ! VITE, APPELEZ UN EXORCISTE ! "
Cela tombe, bien, je suis précisément exorciste, déclama Trabadja, du haut de son prénom à chier tout droit sorti d'une chanson louche de la Légion Étrangère. Jean-Gloumoug lui demanda alors : "Eh Trabadja, tu sais que ta braguette est ouverte, eh ?" En effet, la braguette de Trabadja fut ouverte. Il en mourra sur le champs par réverbération frontale d'une crise cardiaque foudroyante avec quelques bruits de trompettes et des roulements de tambour. René était sur que c'était là, la mort la plus émouvante qu'il ait jamais vu. N'en pouvant plus, il décida de saccager le corps pour empêcher une éventuelle résurrection. Nos amis étaient définitivement débarrassés de ce type au prénom trop chelou.
Loin de là, sur la banquise un pingouin se faisait attaquer par un gant de boxe hanté dans une usine de popcorn.
Sur le point de mourir le pingouin fut sauvé par... personne ! En effet, étant dans l'impossibilité de créer un personnage il fut sauvé par le vide, un vide déguisé en tout déguisé en marguerite déguisé en Jean-Pierre Chevènement déguisé en carte postale déguisé en rhododendron déguisé en parquet déguisé en courant d'air qui fit valser le gant dans la stratosphère et qui fini sa course dans la gueule de Jean-Gloumoug qui perdit sa seule dent non cariée par ses années de mangeage de Mentos en buvant du Coca Light. A ce moment tout bascula : le déséquilibre dentaire de Jean-Gloumoug lui déplaça une cervicale qui lui déboita la hanche ce qui le fit tomber et s'empaler sur un arrosoir en cuivre de très bonne facture. Juste après cela ou peut-être un peu avant quand même, Hortense revint d'entre les morts et disa par la bouche :
"Maréchal, nous voilà !". Pwoh, eh, c'est dépassé tout ça, dit René sur le ton d'un lapin trompettiste défoncé aux anxiolytiques. Jean-François haussa les épaules. "On m'avait dit que vous étiez poujadiste à oeillères, on ne m'avait pas menti !" rétorqua-t-il. C'est à ce moment qu'apparut Jean-Marie Le Pen, en pleine crise d'identité nationale. Il tourna trois fois sur lui-même, puis grogna d'un ton de sandwich frelaté : "Les pneus de mon caniche ont besoin d'un bon coup de peinture". Alors il emmena son lave linge au cinéma pour sucer un léopard.
René qui avait assisté a toute la scène se dit a lui même, avec un ton a la tomate : "Quelle ambiance anxiogène !". Jean François approuva de la tête. C'est alors que René remarqua qu'il avait parlé tout haut.
"Un peu que t'as parlé tout haut mon vieux, on entends que toi !" rétorqua Jean François.
"Sors de ma tête Belzébute !" s'écria René ! "Je sais que c'est toi qui me joue des tours !" En effet, Belzébute, Roi des armées d'un pays bizarre où les gens se tuent avec des sortes de tubes qui lancent des boules en pique, sorta de la tête de René. Il lança alors des éclairs bleu et rouge et un peu kaki sur Jean François qui esquiva avec une dextérité qui ferait pâlir un koala coincé dans un ascenseur en panne a cause d'une grève des moines unijambiste et accessoirement réparateurs d'ascenseurs de koala. Où en étions nous, après ce cours hors sujet ? Ah oui, Belzébute trébucha sur un caribou et moura seul dans un coin en pleurant. Le pays bizarre était sauvé.
"Hourra !" s'ecria Lukeeera.


Alors qu'un wookie mangea une fourchette en pétant bruyamment ce qui fit fuir un papillon qui créa par la même occasion une perturbation qui donna un gros coup de vent qui fit tomber la robe que Sandy-Sue devait mettre le soir même pour son bal de promo ou elle devait attraper le SIDA en forniquant avec Kyle fils de l'oncle Sam cousin de l'oncle Bens qui était lui même de la famille de Mouhamad Diambélé qui ne fut pas content du tout d'être évincé avant de pouvoir devenir une bite. Il donna un coup de bite sur la nuque de Lukeeera qui mouru dans le coup sur le coup par le coup dans d'atroces souffrances car Mouhamad était aussi zoophile et il se trouvait que Lukeeera était en fait un kangourou déguisé en lune de miel déguisé en cravache déguisé en bouddhiste déguisé en bouteille de Carlsberg "Probably the best beer in the world" déguisé en personnage criant "Hourra". A ce moment même René et Jean-Françosi hurlèrent dans un élan de joie marqué d'une touche de tristesse et de bouche pleine de "lumacca piccola" pour Jean-Françosi car René n'aime que le sandwich mayonnaise, c'est bien connu, un déchirant "PAUSE §§§"
Jean-Gloumoug surrenchérit : "Ouais ! Avance ! Recule ! Pause ! Stop ! Eject !" C'est alors que René lui trancha la tête avec sa hache de 3 m qu'il était allé récupérer dans l'histoire médiévale qui se passe au moyen-âge.

Une bite énorme s'écrasa sur la planète Mars.

Jean-François, qui (comme d'habitude) n'avait pas tout suivi, demanda à René : "Eh ? Quoi se passer ?"
René, sur un ton de marteau en plastique, commença son explication par les mots suivants : "Tu vois mon ami, ce Jean Gloumoug était ton cousin et ce qu'il aimait par dessus tout c'était de se faire passer pour le héros de l'histoire, une soit-disant légende qui ne meurt jamais."
"Alors tu es l'exception qui confirme la règle" s'écria Jean-François qui venait enfin de comprendre que la fin du monde était proche qu'ils devaient tout faire pour l'en empêcher.
"Tout a fait, mon ami ! Tu as compris ! Et maintenant veut tu sucer ma b..."
René ne put finir sa phrase, car soudain, la bite géante contrôlé par le Roi maléfique Heenok apparu derrière eux, un martien empalé au bout du gland. René se dit que c'était marrant qu'une bite apparaisse là, comme ça, alors que c'est justement ce qu'il allait dire avant qu'il ne soit coupé par cette même bite.
Tellement marrant qu'il rigola, tellement trop très qu'il en fit débander la bite maléfique qui vint s'écraser molassone sur la tour Eiffel pour être empallée à son tour. Elle crilla (et c'est important le "crilla" je l'ai lu dans une copie d'élève au bahut) :
"Ouille, foutre Dieu que j'ai mal" ce qui déplut fortement à Dieu même s'il n'existe pas. Du coup, elle disparu par combustion spontanée du liquide lacrymale interne à l'ectoplasme endémique, enfin, c'est ce que Charly de Numbers et les Freres Bogdanov dirent devant Claire Chazal le soir même sur FR3. Ainsi les maquilleurs de FR3 périrent tous après les 937 heures de travail pour que les deux frères soient présentables à l'écran ce qui déclencha une guerre des vendeurs de kébab et rouleaux à pâtisseries unifiés qui étaient tous les cousins des maquilleurs. Cela fit bien moins rigoler René qui eu un geste déplacé peu explicable devant le jeune public... quoi que... en fait il a simplement levé un sourcil vers le haut. Cela ne veut pas dire qu'il est innocent... mais il n'est pas forcément coupable non plus ! Cela m'a tout l'air d'un fantasme de duel... Pourquoi ne pas ressortir les règles ! Messieurs choisissez vos armes, un témoin, et au petit jour rendez-vous sur la colline derrière les bois de Trifouilly-les-Oies. René choisit un téléphone banane, le Roi Heenok opta quant à lui pour un ventilateur pédéraste. Jean-François, évidemment, préférait jouer de la flûte. Il fut donc nommé témoin de René. Roi Heenok choisit comme témoin le martien tombé pas trop mystérieusement mais un peu quand même, mais celui-ci refusa vivement déguisé en totalement déguisé en promptement déguisé en mes couilles sur ton nez déguisé en Gérard Schivardi complètement bourré en train de mâchonner un train kleptomane. René éclata d'un rire sardonique déguisé en pute déguisée en hippopotame en cavale déguisé en sorbet démodé déguisé en salon aéronautique déguisé en Belgique déguisé en discours passéiste déguisé en cadre jaune, qui s'écria soudain : "A l'assaut bière pute russe drogue !" Tout ce charabia avait choqué le Roi Maléfique Heenok qui, depuis qu'il était maléfique, refusait d'entendre les mots "bière pute russe drogue". Il entra dans une rage monstrueuse, une colère anxiogène, une stupeur jaune caniche et tout le tralala.
Jean François qui jouait du flutiot fut vaguement impressionné par cette aura monstrueuse qui puait autant qu'un frigo rempli de fromage à raclette périmé. René pris le micro et annonça a la foule déchainée : "Ne vous inquiétez pas, le fromage n'est pas tant périmé que ça !" Ce qui poussa la foule à manger l'aura maléfique du Roi Heenok et les transforma en Zombies Nazi-Communistes déguisés en lapin de Happy Tree Friends déguisé en char Leclerc déguisé en armée de pokémon qui partirent se battre contre l'union des vendeurs de kébabs et de rouleaux à pâtisserie. Malheureusement pour les pokémons maléfiques l'union était faite de pères de famille dans le coup qui avaient tout appris leur classiques de chez Nintendo et ils leur niquèrent la gueule de façon rapide et efficace ce qui méritait une photo Polaroïd en mode sépia surexposé. Alors que le martien se tapait un chamalow grillé sur un poële à mazout.

René dit au Roi Heenok plus si maléfique que ça par manque d'aura :
"Mais ça ne veut carrément plus rien dire vos conneries !" Jean-François acquiesca, puis se déguisa en contrebasse fumiste déguisée en parenthèse croisée déguisée en diagonale déguisée en Mac Gyver à moustache déguisé en clé à molette coiffée comme les Beatles. C'est à ce moment que Beethoven revint d'entre les morts, et sur le ton de Jacques Chirac défoncé à la cocaïne, il fulmina :
"Ouais !" cria-t-il. Ce n'est pas parce que plus personne ne lit qu'il faut écrire n'importe quoi ! C'est plutôt le moment de prendre l'apéro. "Ricard !" hurla Patrick.
Tous : "Patrick ?!"
Le dénommé Patrick moura peu aprés des suites de lésions santiaguesque aux testicules.
"Trés efficace tes santiags, Beethov'" lui dit Jean François.
"Eh, merci Jean Trucmuche !"
Et ils buverent tous a la santé du colonel, tout particulièrement.
"La fin de notre aventure est proche" annonça soudain Luke Skywalker. Puis il sauta par la fenêtre.

Intrigué, un inconnu sans nom que personne ne connait à cause de son anonymat vint et posa une question lourde de sens : "Une fin, est ce bien raisonnable après un début si prometteur ?!"
Peu après il mourut une flèche entre les deux yeux mais surtout le gauche d'un cancer du col de l'uterus. René lâcha une larme de joie face a tant de souffrance et du sortir son mouchoir pour l'essuyer. Erreur fatale ! En sortant son mouchoir il venait d'effacer une partie du passé et de l'avenir, il était désormais bloqué dans le présent et il n'y avait rien qu'il détestait plus, a part tout ce qu'il détestait plus mais quand même. Ainsi un canard déguisé en jupe déguisé en contrepèterie déguisé en organisme bicellulaire tricephallé déguisé en rouflaquette déguisé en truite déguisé en annonceur de fin hurla à qui voulait l'entendre mais surtout pour ceux qui s'en foutait : "BON ALORS, C'EST FINI OUI ?"

Jean-François, René et Ludwig s'écrièrent en choeur : "Mais ! Mais bien sûr que oui !"

FIN (au cas où t'avais pas compris, connard.)
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Message par Alca//122 Mar 29 Avr 2008 - 4:17

NI ROND ! NI CARRÉ ! NI POINTU !!!

Gérard Miller donna le coup d'envoi. Un formidable coup qui envoya directement l'équipe des martiens dans leurs 22 mètres ! L'arbitre, un éléphant en costume orange à paillettes, en vomit dans son sifflet, qui s'enflammit ! Un gros martien vert pomme se saisit du ballon mais Bernard-Henri Lévy le tamponna dans un plaquage furieux. Ce match commençait bien !

L'arbitre siffla. Le gros martien vert pomme explosa dans une explosion de pâte a tarte a la crème explosive. BHL, qui avait pour réflexe de prendre les tartes a la crème dans la gueule, explosa a son tour par explosion de tarte a la crème explosive déguisé en pain de C4. L'arbitre ressifla, car déjà l'histoire partait en champs de nodz.
Mais soudain son sifflet se déguisa en banane, et un ailier martien rose bonbon que personne n'avait remarque sauta dessus et la consomma avec ardeur ! Soudain l'équipe des martiens, par souci de cohérence, décida de se transformer en équipe de fruits. C'est à ce moment qu'Alain Finkielkraut essaya de plaquer une fraise géante, mais elle lui fila entre les doigts ! Soudain, le talonneur de l'équipe des philosophes, Albert Jacquard, hurla : "le ballon ! il est où le ballon ?" En effet, il s'était même pas écoulé trois minutes que personnes en avait plus rien à foutre du ballon. Putain. Ce fut André Glucksmann qui le vit le premier, dans les mains d'un demi de mêlée qui était aussi un ananas courant dans tous les sens. Soudan, le fantôme de Guattari se gratta les fesses en rotant. "Quel porc !" s'exclama Bernard Minet, supporter de l'équipe adverse, qui en profita pour se préparer un sandwich a la mayonnaise. Alors que tout le stade était en effever...eveffer...effevre...que tout le stade était content et chantait des chansons paillardes roboratives, René Descartes apparu tel un ange descendant du ciel et annonça la prophétie que tout le monde redoutait tant elle était anxiogène :
"Un match de rugby sans thé au citron, c'est comme un fromage à qui il manque un oeil ! C'est pourquoi vous êtes condamnés à je pense car vous êtes !"
Personne n'avait vraiment compris, ce qui introduisit dans l'ambiance comme qui dirait un silence de mort. Soudain, on entendit un gros "SPLATCH", car un brugnon trop mûr venait d'être pris en sandwich entre Bourdieu et Deleuze, toujours en quête d'un mauvais coup. L'arbitre se déguisa alors en ministre de gauche, et le match put recommencer. Soudain Jean Baudrillard se transforma en string à paillettes alors que l'équipe adverse se déguisa à nouveau, mais comme ils ne s'était pas bien compris, la moitié se déguisa en animaux d'Amazonie, l'autre moitié en instruments de musique. Une double flûte rentra dans un jaguar. "Merde, ils jouent contre eux-mêmes !" souffla Jacques Derrida déguisé en pelle à tarte. Mais sans plus attendre, un rouleau à pâtisserie s'écria :
"Nom d'un p'tit caniche à ressort ! Mais c'est...c'est le grand magicien noir, le Roi Heenok le maléfique, les bracelets, les colliers, l'argent sale blablabla !"
"En effet." intervint Jean François. "Et il est surement là pour tous nous aspirer dans un trou spatio-temporel qui nous emmènera une fois de plus dans un monde médiéval où nous attendra une quête sans queue ni tête qui ne nous amènera nul part."
"Pour une fois qu'ils faisaient preuve d'un peu d'imagination avec ce match de rugby" ajouta René (mais oui ! René ! Mais non, pas Descartes ! René D4 ! Le fameux héros qui...) (ta gueule un peu, ajouta Jean François dans une parenthèse).
"Bien, maintenant on se remet tous en situation, on lève les bras et on hurle tous que la fin du monde est proche, que la fameuse prophétie vient de se réaliser, que le Roi Heenok le noir va tous nous sodomiser avec son uzi tout ça tout ça" ajouta Jean François avec un faux air de Claude François déguisé en philatéliste suceur de péquenots consanguins déguisé en déguisement.

"Mais non, voyons", dit un alligator en short, c'est juste l'arbitre qui s'est déguisé en Roi Heenok !
Aussitôt ce dernier répondit "Vous n'avez pas assez de produit d'intelligence pour comprendre la situation, t'entends Montréal ? La came se vend, les profits se multiplient, les gens en ont marre du rap pédé qui ne brûle pas de voitures. Tous les jours mes nègres vont et viennent avec des diamants dans le cou, mon médaillon touche à mon pénis, on fait les affaires dans les berlines de luxe, tactique palestinienne, je connecte avec Al-Qaïda, mais en fait, tout ça n'a aucune importance. Ce qui est important c'est l'argent, et le temps c'est de l'argent, donc le temps passe vite mais il passe lentement, jeune pédé, ouais ?"
Un type bourré qui passait par là répondit "Ah ouais, ouais ouais, j'ai tout compris !" puis il retourna jouer à la pétanque au pôle Nord avec Karl Marx et un autre mec, que personne ne connaît et qui s'appelle John Gamelle. Mais René Descartes eut à peine le temps de dire "attention !" que déjà un grand nombre de rugbymans pédés qui consomment rien sur leur balance furent soudainement happés dans un vortex spatiotemporel qui les rejeta dans un monde médiéval, dans un village qui s'appelait Hydropeenok.
"C'est trop pourri comme nom" dit un nain ramenard, éleveur de girafe mongole cocaïnomane.
René, qui avait reprit ses esprits, demanda au nain d'aller chercher de la bière. Ce qu'il fit aussitôt, comme tout bon nain qui va chercher de la bière.
Jean-François qui était concerné par la télévision et Rambo 1 se demanda "Où est l'hydroponique ?"
René n'en savait pas plus que lui bien que tout cela lui rappelait de vieux souvenirs.
Alors que nos deux amis s'apprêtèrent a partir vers un endroit super cool où trouver une quete, style un refuge de druide, Gérard Miller arriva dans sa Porsche et se joigna a l'équipe sans rien demander à personne. C'est Gérard Miller quand même, merde.
Le Roi Heenok, qui veillait au grain, fit remarquer à Gérard Miller "pas très discret, une Porsche dans une campagne du moyen-âge". "Même pas une cayenne", ajouta-t-il sur un ton albacore et gérontophile. Avec ses pouvoirs de magicien noir, il transforma la voiture en calèche tiré par quatre chevaux. "Putain, ma bagnole !" cria Gérard Miller sur un ton de nazi défoncé à la chantilly très mousseuse. Ils continuèrent quand même, jusqu'à arriver dans le village voisin de "Toutesquinté". Ils rencontrèrent un pauv'type qui était là, à rien foutre, alors que tout le monde travaillait. "On travaille beaucoup dans ce village", remarqua René. "C'est une ville nouvelle", répondit le pauv'type d'un air d'escargot déguisé en état grippal déguisé en huître chaude déguisé en peigne à chibre.
Prestement, Jean-François le décapita d'un bon coup de cornemuse espagnole. René, impressionné, s'écria d'un air d'inspecteur en pardessus marron : "Je croyais que tu savais pas te battre ?" "J'ai pas fait exprès", répondit Jean-François. C'est alors qu'une pute nègre accosta nos deux jeunes héros.
"Pute nègre ? C'est borderline" dit Philippe Katerine. Puis il repartit dans un nuage de pet de phoque mourant prés d'une centrale nucléaire mal entretenue.

La jeune dame (voilà qui est mieux se permit Gérard Miller entre parenthèses) leur proposa une pipe en bruyère. Ils acceptèrent donc.
Peu de temps aprés, et le sourire aux lèvres, les deux amis se remirent en route vers un endroit probablement étrange.
Quand soudain un gros chevalier a la coupe de cheveux improbable se mit en travers de leur route. Il leur dit, d'un ton aussi sec que le saucisson : "Au nom du Roi Heenok, je vous arrête !".
Alors Jean François et René s'arrêtèrent.
"Nan, j'déconne", recommença-t-il en faisant valser sa mèche d'un blond très poussin. "J'me présente : Briçois. Je viens de Niçois."
"Ah ?" dit Jean-François. "Non merci" répondit René. "Heya !" dit Gérard Miller aux quatre chevaux. Et ils repartirent en quête de leur druide louche aux pouvoirs surnaturels tellement puissants qu'ils étaient connus même au cercle arctique. Soudain, un gros chevalier avec une énorme épée dans la main leur coupa la route.
"C'est bon, on nous l'a déjà faite", lui dit René d'un ton blasé. Le chevalier répondit alors :
"mon n'veu".
"hein'g ?!" s'exclama Gérard Miller qui eut alors bien du mal a camoufler son accent toulousain.
"Ah euh...ah ouais, j'voulois dire que j'va vous rejoindre pour botter l'cul a ce Roi Heenok de malheur" reprit le gros chevalier qui avait un casque en forme de poulpe défoncé au crack dansant la polka.
"Oh ? Trés bien" lui répondit René. "Tu peux nous rejoindre et nous serons au complet" ajouta-t-il.
"Ah bon ?" fit un héros lambda de jeux vidéo japonais tiré d'une fantaisie finale.
"Ouais. Et maintenant tire toi de là le bridé." dit le gros chevalier d'un ton outré et vachement plastifié.
Philippe Katerine intervint de nouveau : "Le bridé ? Ça aussi c'est borderl.."
Le pauvre, hélas, n'eut le temps de finir sa phrase. Car il fut aussitôt abattu par un chasseur de dahu qui avait perdu son chemin entre Besançon et Grenoble.
"Pfiou, qu'est-ce qu'il fait chaud là-dessous" s'exclama le chevalier en enlevant son casque. C'est alors que nos deux héros et demi reconnurent Laurent Fabius, ce qui cassa un peu l'ambiance. "Laurent, comme tu as grossi ! " s'exclama Miller sur un ton de Rabbi Jacob farci à la pulpe de mangue du Pérou.
C'est alors qu'un gros chevalier armé d'un débouche-plumeau supersonique leur barra la route.
"Ça commence à bien faire, vos conneries ! " s'énerva René. "Je dirais même plus : vous nous cassez les couilles", appuya Jean-Françosi. Mais le chevalier ne bougea pas d'un millimètre. René brandit sa hache et commença à descendre de la Porsche déguisée en calèche déguisée en véhicule hippomobile déguisé en ustensile à traction médiéval, en imitant le cri de l'ornithorynque en rut pour impressionner son adversaire. Ce dernier hurla :
"C'est comme un réflexe à la con !"
Comme personne ne sut interpréter ces paroles, René ajouta "Montréal blabla !"
Alors tout le monde hocha la tête comme pour approuver.
Le dernier gros chevalier à leur barrer la route, succomba aux coups sauvages de René. Jean-François, à moins que ce ne soit Gérard ou Laurent, en profita pour rajouter des glaçons dans son whisky.

Le Roi Heenok commençait a s'ennuyer dans son appartement à Neuilly. Il fit venir Carla Bruni, première catin de France.
"Et d'Angleterre !" ajouta Mick Jagger. Mais il finit par s'évanouir, sous le coup des raviolis d'à midi. Pas fraîches.
"T'as vendu même pas un gramme" hurla le Roi Heenok !

Cela fit réagir Bruno, qui n'était pas d'accord. "Bruno ? C'est qui ?" s'exclama Laurent Fabius. "Aucune putain d'idée" répondit Hard Gay. Ils continuèrent donc leur quête pour aller dans une grotte, où les attend un blaireau spécialiste des excès de vitesse, à moins que ce ne soit un druide spécialiste de magie blanche, car Julien Lepers a mangé mes fiches. Soudain, un gros chevalier armé d'un nain sodomite leur barra la route. "PUTAIN MAIS PUTAIN !" vociféra René. Jean-François, à la surprise générale, s'écria : "J'aime Bouddha et les fraises tagada".
C'etait l'incantation extreme contre le mal. Mais ça marchait aussi contre les gros chevaliers. Le gros chevalier armé du nain sodomite, Laurent Fabius et Briçois et de Niçois mourrurent. Ainsi que le mal.
Mais comme le Roi Heenok n'était pas maléfique, il ne mourrurent pas. Ouais, car le Roi Heenok est grand, donc il est pluriel, enculé.
Et comme, du coup, il restait une place libre dans le groupe de héros, le Roi Heenok les rejoignit.
Gérard Miller qui n'avait pas eu son mot a dire depuis plusieurs paragraphes, et craignant pour sa place dans le groupe, demanda : "Mais si le Roi Heenok, le magicien noir qui nous a emmené dans tout ce bordel n'est pas maléfique, contre qui on doit se battre ?". Hard Gay connaissait la réponse. Mais Hard Gay voulait lui aussi une place dans le groupe. Donc il invoqua une magie vaguement puissante sur les cotés qui tua Gérard Miller vachement au centre. Du coup, une place était libre dans le groupe et... Laurent Fabius s'écria "quelle violence !", ce à quoi Roi Heenok répondit du tac au tac : "C'est la réalité quotidienne des affaires dans le Queens". Laurent ne voyait pas le rapport, mais préféra se taire. "Bon alors, elle est naze l'ambiance !" s'exclama Didier Super, qui était caché dans le coffre. "Et merde, manquait plus que lui", grinça René. C'est alors qu'un gros chevalier armé d'un bisounours en terre cuite leur barra la route. "RAAAAAAAAAAAAAAAAAH", s'époumona René. "Vous allez lui faire avoir une crise cardiaque", dit Fabius d'un ton moralisateur. Jean-François préférait jouer de la flûte. "ta gueule toi aussi avec ta flûte à la con !" cria René. Hard Gay dit que ce n'était pas très gentil, et c'est alors que René entra dans une fureur atomiquement nucléaire. Il cria : "Tiens ? Mais Laurent ? T'étais pas mort ?".
Jean François s'arrêta un instant de jouer de la flute pour faire remarquer a René qu'il n'avait pas crié et qu'au contraire avait posé trois questions d'un air de Louis de Funés sniffant de la coke dans les chiottes du Fucking Blue Boy.
"C'est exact" rétorqua René en cirant les pompes de Goldorak.
Laurent Fabius se mit a rire. Oui. Et un rire qui fait peur.
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Message par Alca//122 Mar 29 Avr 2008 - 4:17


EH OUI ! C'était Laurent Fabius le tueur ! Enfin le méchant, le type pas net a abattre, le boss de fin de niveau, Yvette Horner et compagnie !
Carlos s'écria sur France Bleu, juste avant de mourir : "Bon courage !" Et tel un gros Jean Francosi défenseur des oprimer et des faible, il disparu derrière vous.
Notre groupe de héros se préparent au combat final !
"On comprend plus rien", s'énerva Sébastien Chabal en costume de policier norvégien. "Recadrez un peu vos conneries, j'essaie de suivre, moi !"
"Par de le pouvoir de le crâne ancestraaaaaaaaaaaaal" hurla Fabius, avant de disparaître dans un nuage de fumée de hareng. "Et merde !" répondit Jean-François. "On l'a paumé !". "On s'en fout, on avance" dit Didier Super. "Non", dit René. Vous, vous allez où vous voulez, mais sans nous. Avec Jean-François, on va chez le druide pour accomplir notre quête"
"Mais... quelle quête ?", demanda Hard Gay. René eut une hésitation, puis répondit "Ta gueule enculé."
Ils continuèrent donc vers le Sud, c'est à dire à l'opposé du Nord. Ils marchèrent. Pendant ce temps, le chevalier se suicida en se rentrant son bisounours en terre dans l'oreille gauche. C'est triste, mais évidemment tout le monde s'en fout. René et Jean-François finirent par arriver dans un village de nains. Un nain arriva et leur dit :
"Rally oh ! Une p'tite bière ? Oh mais on dirait que l'histoire redevient normal ! Vous allez poursuivre votre quête et oublier vos aventures passées" puis le nain s'introduisit une merguez dans la narine, comme pour confirmer que l'histoire reprenait vraiment une narration normale.

Pour confirmer encore plus, un gros chevalier avec un gilet imitation Champs Elysées leur barra la route. "On s'en fout, mais on s'en fout, tu peux barrer ce que tu veux, y a pas de route ici, on est à la campagne !" s'exclamit Jean-François. Comme le gros chevalier parut attristé par la nouvelle, René lui trancha la tête afin d'apaiser ses souffrances. Hard Gay, déguisé en Gérard Miller, préféra se gratter mollement les fesses et en profita pour déguiser Gérard Miller en Hard Gay. René, qui essuyait son tube qui lance des boules en pique, regarda la scène d'un air amusé et déphasé et un peu tire fesses.
Jean François haussa les genoux et se remit en route. Quand soudain, il s'exclama : "On est censé faire quoi là, au fait ?"
Un autre gros chevalier, déguisé en Saint-Bernard, s'approcha discrètement pour répondre bêtement : "Ouaf Ouaf !" car c'était en fait un vrai chien déguisé en lance-poires déguisé en peigne-cul déguisé en malaxe-rosier déguisé en couine-borgne déguisé en en chiottes à flûté déguisé en chevalier de mes couilles à double sens giratoire inversé. René répondit "Je ne sais plus, peut-être devrions-nous acheter un journal pour savoir ce qui se passe dans le monde". Ça va pas être facile, répondit Laurent Fabius dans un nuage de crème d'anchois. L'imprimerie ne sera inventé que dans plusieurs siècles ! "Zut" répondit Jean-François. "Il nous faut donc trouver un barde !". Hard Miller déguisé en Gérard Gay s'exclama alors sur un ton de pelleteuse à frire : "Un barde ? Il fallait le dire plus tôt ! Je connais le meilleur barde du pays !". Hard Miller lança un sort d'invocation et Jean-Pierre Raffarin, tout juste revenu de Pékin, apparu, l'air un peu écrasé par un tank avec un tube dans le cul et des feux d'artifices aussi, c'est joli. Il raconta alors son histoire : "En fait, les gars, vous devez poursuivre le Roi Heenok." Jean-Marie Beauséjour, déguisé en Roi Heenok le noir intervint : "Je suis déjà présent, c'est déjà vrai ici pour quelques instants".
"Ah" fit Jean Pierre Raffarin. C'est alors qu'il péta, long et fort, et son pet fut merveilleux, intangible, insoupçonné, comme si il voulait rimer avec de la limonade à la violette et de l'orgueil déplacé farci aux olives vertes. Jean-Marie Beauséjour déguisé en ventilateur se gratta la pompe à essence du haut de son cheval gauche, avant de s'éclipser dans un nuage de gros chevalier aux croutons frottés d'ail. "Quel malheur !" s'écria alors Hard Miller. "Notre proie s'est volatilisée !". René répondit qu'il n'en avait rien à foutre, et qu'il se cassait en Afrique pour y chasser le tigre du bengale. Jean-François lui faisa remarquer que le Bengale, c'est un peu pas du tout en Afrique. Ils retournèrent donc à Marseille.

Mais en route, un vieux nain surgit d'un terrier à blaireau en criant :
"Je l'ai eu ! Je l'ai eu ! Philippe Khorsand est mort !".
"Ça c'est palace" ajouta un vieux groom noir qui faisait le ménage du coté de Dunkerque.
Et c'est pendant que Jean François préparait une purée façon Jenny fait cuire de l'andouillette, que le but inavoué et désoxydé de l'illusoire précarité de notre histoire leur apparut : Il fallait, en fait, finir un match de rugby.
"Ça ne m'intéresse pas" lança tout de go, notre René National.
Et donc, finalement, tout était a recommencé.
Un frigo se mit a parler de prophétie mais plus personne ne l'écoutait. Le pneu magique avait disparu de la surface de la terre, tout était perdu.
Et c'est alors que, comme jailli de nulle part, Jean-Pierre Raffarin cessa de péter, se saisit du ballon, et tel un raamen flamboyant subjugué par l'orthodoxie dithyrambique de ton idiosyncrasie bleutée, franchissa la ligne des 22 mètres, mais se fit plaquer à 5 mètres de l'embut par CHABAAAAAAAAAAAAAAL, et pof, crac, plaffo, Thierry Gilardi succomba à une foudroyante crise cardiaque du genou gauche.
"Tu m'donnes faim", dit un souris mexicaine qui avait une coupe d'Europe dans l'oreille. Mais l'arbitre déguisé en racine de palmier humaniste et parabolique défoncé à la mousse d'échalotes siffla dans une bite énorme déguisée en discobole déguisé en pute lobotomisée dansant le twist aztèque à double sens giratoire inversé. Le résultat fut étonnant : en effet, René ramassa sa cuillère en bois et la rangea dans sa moche.
Jean François lui fit remarquer que son ami aurait du la ranger dans sa poche plutôt que sa moche, mais tout ceci n'empêcha pas l'arbitre de finir empaler sur une bétonnière en forme de statue de nain déguisé en palmier a goéland d'Afrique du Sud.
Mais il siffla quand même la fin du match, et personne n'avait gagné si ce n'est que tout les participants qui rêvaient dans leur culs, avaient le droit de se resservir un pastis. Car qui dit pastis, dit vae victis.

Quelques secondes plus tard, un martien rota dans l'oreille de Laurent Fabius.
"Ouapos", dit un type bourré en train de manger des mouches sous une table en formica d'un bar mal famé de Normandie. "Ça va être difficile d'en placer une après ça !".
Puis, après 3,14159 seconde de réflexion, il plaça sournoisement le point final en bas de la page, et l'histoire se termina ainsi.
FIN.
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Message par Alca//122 Ven 10 Juil 2009 - 5:01

Putain, dire que j'ai osé écrire "pour des raisons de cohérence" dans mon premier message.
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