po hésitations
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po hésitations
ce sont juste des textes ecrits il y a plus d'un an, attendu que depuis plus d'un an, je n'arrive presque plus a ecrire, mais ca revient.
mais j'y tiens l'air de rien, donc vous etes tous invités a emettre des critiques dessus.
mais j'y tiens l'air de rien, donc vous etes tous invités a emettre des critiques dessus.
enfantillage
Débutant dans la vie
Découvrant ce taudis
Laissé en héritage
Par delà tous les âges.
Comment ne pas vouloir
Changer l’ordre des choses
Et prendre le pouvoir
Ce que personne n’ose.
Monde truffé de lâches
D’ordures, fumeurs de hash
De paradis artificiels
Egoïstes, pas éternels
Qui, à la dernière lampée
Fumée, envolée, enfumés.
Les idées,
Préjugés,
Ne se combattent pas ?
La sagesse est en cause,
Interdite est la pause ;
Et partout la souffrance
Et cette odeur de rance…
L’odeur des gens pourris
Qui, d’un air fort contrit
Ont étranglé tes frères
Puis violèrent ta mère
Te saignent aux quatre veines
En t’inculquant (amen !)
Le dégoût de la haine .
Hein ? Quoi ?
« L’argent est Roi ! »
Dit-on
On est un con :
Pour tous,
Et avant tout
Pour moi,
Le Roi, c’est soi.
La Rébellion est une adolescente :
Idées nouvelles, mentalités naissantes,
Only can blossom from
A brainstorming-free brain.
Le doute est aux débutants
Ce que la foi est aux agonisants.
Un fruit de l’évolution :l’homme ;
Palmarès :une invention : « haine ».
Découvrant ce taudis
Laissé en héritage
Par delà tous les âges.
Comment ne pas vouloir
Changer l’ordre des choses
Et prendre le pouvoir
Ce que personne n’ose.
Monde truffé de lâches
D’ordures, fumeurs de hash
De paradis artificiels
Egoïstes, pas éternels
Qui, à la dernière lampée
Fumée, envolée, enfumés.
Les idées,
Préjugés,
Ne se combattent pas ?
La sagesse est en cause,
Interdite est la pause ;
Et partout la souffrance
Et cette odeur de rance…
L’odeur des gens pourris
Qui, d’un air fort contrit
Ont étranglé tes frères
Puis violèrent ta mère
Te saignent aux quatre veines
En t’inculquant (amen !)
Le dégoût de la haine .
Hein ? Quoi ?
« L’argent est Roi ! »
Dit-on
On est un con :
Pour tous,
Et avant tout
Pour moi,
Le Roi, c’est soi.
La Rébellion est une adolescente :
Idées nouvelles, mentalités naissantes,
Only can blossom from
A brainstorming-free brain.
Le doute est aux débutants
Ce que la foi est aux agonisants.
Un fruit de l’évolution :l’homme ;
Palmarès :une invention : « haine ».
philo, une réponse tardive
L’amour, le moi et la personne
(ou le sujet et la personne)
Grammaire :
Le sujet est à la phrase ce que le moi est à la personne :
Sujet moi
Verbe corps
Complément âme
Le sujet, sans la phrase, ne veut rien dire, il appartient à la phrase : si on change le sujet, la phrase change du tout au tout . Par contre, si le verbe ou le complément changent, la phrase, sans rester absolument identique, n’en est pas pour autant fondamentalement transformée ; la phrase change, mais le sujet reste.
Donc le sujet est la base de la phrase.
En utilisant le rapport phrase-personne, on peut dire que le moi est la base de la personne, et donc que, comme pour une phrase, le corps-verbe et l’âme-complément ne sont là que pour confirmer le moi-sujet, pour l’expliciter et le situer par rapport aux autres moi-sujets qui l’entourent.
Personne et amour :
A la question de savoir si on aime une personne quand on aime ses qualités, je dis non.
Le moi est, au contraire de la personnalité et du corps, la seule chose constante d’une personne.
Donc dire qu’on aime une personne quand on n’aime que son corps ou ses qualités, c’est mentir, car l’amour disparaît quand les qualités ou le corps de la personne changent ou disparaissent, alors que la personne est la même, au fond d’elle même, c’est de l’amour superficiel, égoïste, car on n’aime l’autre que pour ce qu’il nous apporte, et non pour lui même.
Or, à mon idée, l’amour véritable est « éternel », dans ce sens où il survit au changement de la personnalité ou du corps de la personne aimée. Il se porte donc vraiment sur la personne elle-même, et non sur ce qui est superficiel et périssable de l’autre.
On peut aimer n’importe qui de manière superficielle, car les qualités morales ou physiques sont communes à tous les hommes, cela reviendrait à aimer tout le monde et n’importe qui parce que tous les Hommes appartiennent a la race humaine. Mais le véritable amour est quasiment exclusif, c’est toute la différence entre le harem et la monogamie.
Cet amour est celui qui s’intéresse à ce qu’est profondément la personne, à cette abstraction qui nous fait ressentir notre différence par rapport aux autres, notre caractère unique en tant que personne. C’est l’amour du moi, de l’essence profonde de la personne.
Jusqu’à présent, je me suis basée sur le fait que le « moi » est unique, inhérent à chaque personne, mais ai-je tors ? Car si j’ai tors, l’amour véritable n’existe pas.
Le moi :
Encore faudrait-il savoir ce qu’est le moi.
Pour la définition, c’est le sujet de la phrase-personne, son essence, mais qu’est-il ?
S’il est unique, il ne peut être que le rapport de la personne au monde : la vision qu’elle en a, et la position qu’elle prend par rapport a lui.
C’est la seule chose véritablement unique en chaque personne.
Le problème, c’est de savoir si l’on PEUT effectivement aimer une personne, c’est à dire connaître son moi, sa perception du monde, et l’apprécier.
On me dira : « le moi en tant que rapport au monde peut changer ».
Je ne crois pas : même quand la personnalité est bouleversée, même quand les qualités sont changées, le moi en tant que rapport au monde ne change pas. C’est ce « moi » immuable qui fait qu’une personne âgée, en regardant une vieille photo de gamine peut dire « c’est moi » , au présent, car elle se sent la même qu’a 6 ans, les rides et la sagesse en plus, mais la même, au fond : son « moi » est le même.
Conclusion :
Le « moi » est la seule partie constante d’une personne, dont l’unicité est contenue dans ce rapport au monde, qui est différent pour chaque personne.
Il est le seul objet sur lequel le véritable amour peut se porter.
(ou le sujet et la personne)
Grammaire :
Le sujet est à la phrase ce que le moi est à la personne :
Sujet moi
Verbe corps
Complément âme
Le sujet, sans la phrase, ne veut rien dire, il appartient à la phrase : si on change le sujet, la phrase change du tout au tout . Par contre, si le verbe ou le complément changent, la phrase, sans rester absolument identique, n’en est pas pour autant fondamentalement transformée ; la phrase change, mais le sujet reste.
Donc le sujet est la base de la phrase.
En utilisant le rapport phrase-personne, on peut dire que le moi est la base de la personne, et donc que, comme pour une phrase, le corps-verbe et l’âme-complément ne sont là que pour confirmer le moi-sujet, pour l’expliciter et le situer par rapport aux autres moi-sujets qui l’entourent.
Personne et amour :
A la question de savoir si on aime une personne quand on aime ses qualités, je dis non.
Le moi est, au contraire de la personnalité et du corps, la seule chose constante d’une personne.
Donc dire qu’on aime une personne quand on n’aime que son corps ou ses qualités, c’est mentir, car l’amour disparaît quand les qualités ou le corps de la personne changent ou disparaissent, alors que la personne est la même, au fond d’elle même, c’est de l’amour superficiel, égoïste, car on n’aime l’autre que pour ce qu’il nous apporte, et non pour lui même.
Or, à mon idée, l’amour véritable est « éternel », dans ce sens où il survit au changement de la personnalité ou du corps de la personne aimée. Il se porte donc vraiment sur la personne elle-même, et non sur ce qui est superficiel et périssable de l’autre.
On peut aimer n’importe qui de manière superficielle, car les qualités morales ou physiques sont communes à tous les hommes, cela reviendrait à aimer tout le monde et n’importe qui parce que tous les Hommes appartiennent a la race humaine. Mais le véritable amour est quasiment exclusif, c’est toute la différence entre le harem et la monogamie.
Cet amour est celui qui s’intéresse à ce qu’est profondément la personne, à cette abstraction qui nous fait ressentir notre différence par rapport aux autres, notre caractère unique en tant que personne. C’est l’amour du moi, de l’essence profonde de la personne.
Jusqu’à présent, je me suis basée sur le fait que le « moi » est unique, inhérent à chaque personne, mais ai-je tors ? Car si j’ai tors, l’amour véritable n’existe pas.
Le moi :
Encore faudrait-il savoir ce qu’est le moi.
Pour la définition, c’est le sujet de la phrase-personne, son essence, mais qu’est-il ?
S’il est unique, il ne peut être que le rapport de la personne au monde : la vision qu’elle en a, et la position qu’elle prend par rapport a lui.
C’est la seule chose véritablement unique en chaque personne.
Le problème, c’est de savoir si l’on PEUT effectivement aimer une personne, c’est à dire connaître son moi, sa perception du monde, et l’apprécier.
On me dira : « le moi en tant que rapport au monde peut changer ».
Je ne crois pas : même quand la personnalité est bouleversée, même quand les qualités sont changées, le moi en tant que rapport au monde ne change pas. C’est ce « moi » immuable qui fait qu’une personne âgée, en regardant une vieille photo de gamine peut dire « c’est moi » , au présent, car elle se sent la même qu’a 6 ans, les rides et la sagesse en plus, mais la même, au fond : son « moi » est le même.
Conclusion :
Le « moi » est la seule partie constante d’une personne, dont l’unicité est contenue dans ce rapport au monde, qui est différent pour chaque personne.
Il est le seul objet sur lequel le véritable amour peut se porter.
ruines
Le monde est en ruines. Et ces ruines sont encore toutes chaudes; l’air vibre encore de l’écho des
bombes qui ont créé ces ruines. L’air vibre encore de la fumée des incendies, des bombes, des
tornades de poussière soulevées par l’effondrement des idoles des hommes. Ou seraient-ce les
vapeurs de la décomposition des corps à ciel ouvert qui empuantit l’air et l’alourdit?
Des membres arrachés sont exposés çà et là , plantés parmi les décombres comme des panneaux de
signalisation: “ici une famille de 11 personnes est décédée suite a la torture”; “là trois enfants ont
été soufflés en plein jeu par l’onde de choc d’Hiroshima”.
L’horizon inexistant serait de toute manière envahit parles cris des corbeaux et des projectiles, par le
nuage noir et mortel qu’on voit s’élever au-dessus des usines chimique éventrées, par les lumières
aiguës et vertes des explosions et celles graves, rouges, des incendies.
On sent sourdre de partout une plainte sourde, quasi-muette mais dense, palpable, omniprésente: la
douleur des femmes veuves à peine amoureuses, celles auxquelles on a coupé la langue quand on a
mutilé les mots, la plainte des enfants dont on a saccagé les rêves comme ces forêts d’Amazonie:
pour le profit, sans pensée pour leur futur, leur équilibre. Cette plainte pèse sur les hommes
rescapés, sur leur coeur et leur cerveau, les endolorit et les rend amorphes, hagards, égarés dans ces
ruines déjà si familières pourtant, ce désert de pierres où subsistent à peine quelques pans de murs si
vite égalisés.
Pourtant, sous les gravats, un paquet de tissus se meut, et deux yeux noyés de rêves se montrent,
sans honte de ce qu’ils sont mais emplis de peur de ce qu’ils pourraient être, de ce qu’ils pourraient
devenir. Une peur plus vague, moins acide que celle de la mort qui les entourent mais qui, comme
elle, a investit toutes les cellules de leur refuge. partout dans les ruines de petits corps se meuvent,
comme des vers, nus, offerts aux becs des corbeaux mais hébergeant des aigles à l’éclosion: cette
peur, cette folie chevauchée et domptée, transformée, métamorphosée peu à peu en espoir, en force,
plus grand que l’instinct de vie ou celui de mort, plus grand que l’animalité qui produit ces ruines a
partir du palais qu’elle avait construit.
ces aigles qui savent, a peine éclos, qu’il n’y a plus rien à faire pour reconstruire, qu’il ne le faut
pas, et qui trouveront l’autre voie.
Pause
Car les oeufs sont a l’éclosion
les yeux sont remplis de peur
la métamorphose n’est pas opérée
la fleur n’est pas née de la tombe
Narcisse dort, il s’est oublié un instant
les enfants sortent des déchets de leurs parents, avec des
questions a toutes des réponses, des oeufs a l’éclosion
qu’ils poseront jusqu”’a ce qu’ils obtiennent
bombes qui ont créé ces ruines. L’air vibre encore de la fumée des incendies, des bombes, des
tornades de poussière soulevées par l’effondrement des idoles des hommes. Ou seraient-ce les
vapeurs de la décomposition des corps à ciel ouvert qui empuantit l’air et l’alourdit?
Des membres arrachés sont exposés çà et là , plantés parmi les décombres comme des panneaux de
signalisation: “ici une famille de 11 personnes est décédée suite a la torture”; “là trois enfants ont
été soufflés en plein jeu par l’onde de choc d’Hiroshima”.
L’horizon inexistant serait de toute manière envahit parles cris des corbeaux et des projectiles, par le
nuage noir et mortel qu’on voit s’élever au-dessus des usines chimique éventrées, par les lumières
aiguës et vertes des explosions et celles graves, rouges, des incendies.
On sent sourdre de partout une plainte sourde, quasi-muette mais dense, palpable, omniprésente: la
douleur des femmes veuves à peine amoureuses, celles auxquelles on a coupé la langue quand on a
mutilé les mots, la plainte des enfants dont on a saccagé les rêves comme ces forêts d’Amazonie:
pour le profit, sans pensée pour leur futur, leur équilibre. Cette plainte pèse sur les hommes
rescapés, sur leur coeur et leur cerveau, les endolorit et les rend amorphes, hagards, égarés dans ces
ruines déjà si familières pourtant, ce désert de pierres où subsistent à peine quelques pans de murs si
vite égalisés.
Pourtant, sous les gravats, un paquet de tissus se meut, et deux yeux noyés de rêves se montrent,
sans honte de ce qu’ils sont mais emplis de peur de ce qu’ils pourraient être, de ce qu’ils pourraient
devenir. Une peur plus vague, moins acide que celle de la mort qui les entourent mais qui, comme
elle, a investit toutes les cellules de leur refuge. partout dans les ruines de petits corps se meuvent,
comme des vers, nus, offerts aux becs des corbeaux mais hébergeant des aigles à l’éclosion: cette
peur, cette folie chevauchée et domptée, transformée, métamorphosée peu à peu en espoir, en force,
plus grand que l’instinct de vie ou celui de mort, plus grand que l’animalité qui produit ces ruines a
partir du palais qu’elle avait construit.
ces aigles qui savent, a peine éclos, qu’il n’y a plus rien à faire pour reconstruire, qu’il ne le faut
pas, et qui trouveront l’autre voie.
Pause
Car les oeufs sont a l’éclosion
les yeux sont remplis de peur
la métamorphose n’est pas opérée
la fleur n’est pas née de la tombe
Narcisse dort, il s’est oublié un instant
les enfants sortent des déchets de leurs parents, avec des
questions a toutes des réponses, des oeufs a l’éclosion
qu’ils poseront jusqu”’a ce qu’ils obtiennent
Re: po hésitations
c'est tout pour aujourd'hui!
crachats et fleurs seront les bienvenus, ne vous freinez pas!!
auquel cas ( ) yen aura d'autres!!!
crachats et fleurs seront les bienvenus, ne vous freinez pas!!
auquel cas ( ) yen aura d'autres!!!
Re: po hésitations
" Jusqu’à présent, je me suis basée sur le fait que le « moi » est unique, inhérent à chaque personne, mais ai-je tors ? Car si j’ai tors, l’amour véritable n’existe pas "
Sans te contredire mais un peu quand même, le moi est unique certes mais évolue quand même, il doit s'adapter à un certain mileu donc il change qu'on le veuille ou non, il ne reste souvent que de vagues souvenirs ou notions... Il évolue en fonction de son moi initial, c'est à dire suivant des règles de base qui font que son changement soit plus ou moins long suivant les expériences.
S'il ne changeait pas, sans alternative ni adaptation, nous serions tous morts, criminels ou suicidés !
PS : Je n'ai pas lu la suite, je reviendrais
Sans te contredire mais un peu quand même, le moi est unique certes mais évolue quand même, il doit s'adapter à un certain mileu donc il change qu'on le veuille ou non, il ne reste souvent que de vagues souvenirs ou notions... Il évolue en fonction de son moi initial, c'est à dire suivant des règles de base qui font que son changement soit plus ou moins long suivant les expériences.
S'il ne changeait pas, sans alternative ni adaptation, nous serions tous morts, criminels ou suicidés !
PS : Je n'ai pas lu la suite, je reviendrais
Re: po hésitations
Enfantillages est vraiment excellent putain !
Euh, vu que ce topic contient plusieurs textes et que le forum n'était pas prévu pour ça, ben j'ai mis le tout en Annonce.
Parce que tu le valons bien !
Euh, vu que ce topic contient plusieurs textes et que le forum n'était pas prévu pour ça, ben j'ai mis le tout en Annonce.
Parce que tu le valons bien !
Re: po hésitations
a mon cher chris,
j'ai encore du mal m'exprimer quand j'ai ecris ce fichu texte, et mon opignon (comme les oignons) intime sur la veritable nature du moi est qu'il est unique et donc inchangeable et inhérant a chaque personne, donc toi et moi on ne fait que diverger.
m'enfin, je dirais quand meme que, selon cette même opignon qui est la mienne, s'il est unique et bla bla bla, son expression évolue et s'adapte au vacu de son (parfois pitoyable) propriétaire.
peut etre enfin tomberons nous d'accord, bien qu'entre ce que je dis, ce que j'ecris, ce que je veux dire, enfin, tu connais...
j'ai encore du mal m'exprimer quand j'ai ecris ce fichu texte, et mon opignon (comme les oignons) intime sur la veritable nature du moi est qu'il est unique et donc inchangeable et inhérant a chaque personne, donc toi et moi on ne fait que diverger.
m'enfin, je dirais quand meme que, selon cette même opignon qui est la mienne, s'il est unique et bla bla bla, son expression évolue et s'adapte au vacu de son (parfois pitoyable) propriétaire.
peut etre enfin tomberons nous d'accord, bien qu'entre ce que je dis, ce que j'ecris, ce que je veux dire, enfin, tu connais...
Re: po hésitations
... vi, je connais !
J'aime bien ton mot " expression " évolutive donc, cela correspond à ce que je voulais sans doute exprimer, c'est simple finalement
Tu bois un vers ?
J'aime bien ton mot " expression " évolutive donc, cela correspond à ce que je voulais sans doute exprimer, c'est simple finalement
Tu bois un vers ?
dust
bin ca sent l'empoussiéré ici...
comme je m'en va, ti chris, je t'offre le vers que tu m'a proposé ya queq'temps... à la revoyure...
ca me fait quand même plaisir qu'on se soit entendus sur ce point, du moi.
comme je m'en va, ti chris, je t'offre le vers que tu m'a proposé ya queq'temps... à la revoyure...
ca me fait quand même plaisir qu'on se soit entendus sur ce point, du moi.
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