Poèsie diverses
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Poèsie diverses
Ben libre comme l'air qui n'existe pas, libèrez vos mots et écrivez-les, je me lance en tant que " poète " comme ils disent !
Un rien ( sonnet classique )
Encore un mot, un seul, une suite si belle
C’était un simple verre et ce rouge en dedans
La bête croyait naître en ce radieux printemps
Tentante destinée où est donc la pucelle
Quelle vie bien rangée toujours sans bagatelle
Tant de mots rabâchés comme on fait un enfant
Juste un détail pour vous : jamais mon cœur ne ment
Et le ciel s’assombrit étouffant l’étincelle
En ces jours trop sucrés d’amertumes le soir
La brindille qui flotte au vent et donne espoir
Un soupçon de chaleur un instant de quiétude
Quand viendra cette mort ce moment de bonheur
Aux pouvoirs de l’oubli je donne mon malheur
Une lettre s’envole et rejoint l’altitude….
(c) 17/04/05
Un rien ( sonnet classique )
Encore un mot, un seul, une suite si belle
C’était un simple verre et ce rouge en dedans
La bête croyait naître en ce radieux printemps
Tentante destinée où est donc la pucelle
Quelle vie bien rangée toujours sans bagatelle
Tant de mots rabâchés comme on fait un enfant
Juste un détail pour vous : jamais mon cœur ne ment
Et le ciel s’assombrit étouffant l’étincelle
En ces jours trop sucrés d’amertumes le soir
La brindille qui flotte au vent et donne espoir
Un soupçon de chaleur un instant de quiétude
Quand viendra cette mort ce moment de bonheur
Aux pouvoirs de l’oubli je donne mon malheur
Une lettre s’envole et rejoint l’altitude….
(c) 17/04/05
Re: Poèsie diverses
Au glas de l'au-delà
08-09/05/05
Ô Seigneur la main pleine en azerty de haine
Tu égorges la chienne en apaisant sa peine
Pour en renier l’heure et affronter la peur
Que cette simple fleur puisse toucher ton cœur
Ô Saigneur du bol plein quand il déborde en vain
Couleur vaine s’éteint dénaturant son teint
T’as pas vu cette éponge en ton sang pur qui plonge
Quand celui-ci te ronge et que ton rêve est songe
Ô les mains façonnant la cuisse, caressant
L’avenir passionnant d’oubli dorénavant
Si se force l’amour de finir un beau jour
Comme un clown fait son tour pour un triste bonjour
Ô moi de l’au-delà aimant par-ci par-là
J’ai tant porté son glas partout où il n’est pas
Cherchant son cœur si noir qu’un concurrent d’un soir
En sortant du manoir fit perdre tout espoir
Ô Terre immature en m’oubliant t’est sûre
Buvons ton eau impure en s’énivrant de murs
Pleurer devient si beau quand t’es sur tes ergots
J’aime ces oripeaux qui touchent mon berceau
Ô ouïe entends ce cri : j’ai perdu mon gri-gri
Quelques mots trop aigris dans le bruit de l’esprit
Que brillent les vaincus dans les angles obtus
Heureux ceux qui ont pu enfin montrer leur cul
Tu égorges la chienne en apaisant sa peine
Pour en renier l’heure et affronter la peur
Que cette simple fleur puisse toucher ton cœur
Ô Saigneur du bol plein quand il déborde en vain
Couleur vaine s’éteint dénaturant son teint
T’as pas vu cette éponge en ton sang pur qui plonge
Quand celui-ci te ronge et que ton rêve est songe
Ô les mains façonnant la cuisse, caressant
L’avenir passionnant d’oubli dorénavant
Si se force l’amour de finir un beau jour
Comme un clown fait son tour pour un triste bonjour
Ô moi de l’au-delà aimant par-ci par-là
J’ai tant porté son glas partout où il n’est pas
Cherchant son cœur si noir qu’un concurrent d’un soir
En sortant du manoir fit perdre tout espoir
Ô Terre immature en m’oubliant t’est sûre
Buvons ton eau impure en s’énivrant de murs
Pleurer devient si beau quand t’es sur tes ergots
J’aime ces oripeaux qui touchent mon berceau
Ô ouïe entends ce cri : j’ai perdu mon gri-gri
Quelques mots trop aigris dans le bruit de l’esprit
Que brillent les vaincus dans les angles obtus
Heureux ceux qui ont pu enfin montrer leur cul
08-09/05/05
Re: Poèsie diverses
Les deux premiers quatrains pas tant que çà mais le reste n'était pas du même jour et l'ensemble est exactement çà et en alexandrins avec rimes à l'hémistiches pour plus de force !
T'as bon Alca et je venais de le dire : ma muse m'a quitté et je m'amuse le coeur aigri...
J'attends un poème de ta part, la forme on s'en fout !
T'as bon Alca et je venais de le dire : ma muse m'a quitté et je m'amuse le coeur aigri...
J'attends un poème de ta part, la forme on s'en fout !
Re: Poèsie diverses
Une p'tit chanson en attendant Alca ?
De un à deux
Salut les affreux
Salut les sonneux
Salut les morveux
Aux sons mélodieux
M’appelez pas mon Dieu
Ou j’vous crève un pneu
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Vive la folie
Comme c’est joli
Charmant petit cri
Si loin des temps gris
M’appelez pas mon Chris’
Ou j’vous plante un kriss
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Bonjour le printemps
Pas celui d’Adam
Quel beau firmament
Amant simplement
M’appelez pas Adam
Ou j’vous casse les dents
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Car sous tous les draps
Pas de sparadrap
Sonnez donc le glas
Pour voir au delà
M’appelez pas mon gars
Ou j’vous pète un bras
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
La musique est pure
Le cœur reste pur
La vie c’est trop dur
Sans outre mesure
M’appelez pas le dur
Ou j’vous brise le fémur
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
(c) 22/07/05
De un à deux
Salut les affreux
Salut les sonneux
Salut les morveux
Aux sons mélodieux
M’appelez pas mon Dieu
Ou j’vous crève un pneu
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Vive la folie
Comme c’est joli
Charmant petit cri
Si loin des temps gris
M’appelez pas mon Chris’
Ou j’vous plante un kriss
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Bonjour le printemps
Pas celui d’Adam
Quel beau firmament
Amant simplement
M’appelez pas Adam
Ou j’vous casse les dents
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
Car sous tous les draps
Pas de sparadrap
Sonnez donc le glas
Pour voir au delà
M’appelez pas mon gars
Ou j’vous pète un bras
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
La musique est pure
Le cœur reste pur
La vie c’est trop dur
Sans outre mesure
M’appelez pas le dur
Ou j’vous brise le fémur
Quand au pieu
C’est bien mieux
Quand aux cieux
C’est à deux
(c) 22/07/05
Dernière édition par le Dim 14 Aoû 2005 - 10:34, édité 1 fois
Abécédaire
Abécédaire
A comme alphabet. A comme Anouar qui berce ma vie de tristesse, de joie,
de mélancolie et d’Amour. A comme avant, A comme Après, A comme jamais.
A celui qui en mon nom aurait pu dire " je t’aime " . A celle qui n’existe pas
à qui je dis " je t’ai toujours aimé " . Adieu.
B comme belvédère. B comme un baiser sur ton cœur, un regard sur ton âme.
Autre vision d’un monde panoramique, euphorique.
C comme çà. C indéfinissable, cela ne le sera jamais. C coule de source !
D comme idéal. Décalé, briser les tabous. D comme d’aventures…
E comme évidence, évidemment !
F comme sœur de fait. F comme " t’es grand p’tit con " .
G comme gare. Désaffectée, inutile et indispensable…Espace de créativité,
d’accueil. G comme grande bâtisse, accueillante en partance…
H comme hérédité, proximité, interdits…
I comme invention. Inventons l’Amour comme toujours…
J comme je reviendrai un jour… J comme jovial !
K comme kinési. Ca fait du bien quand ça fait mal…
L comme Elle. L comme ligne de conduite, droite, tracé. Contradiction
entre loi et liberté. L comme tue l’amour, L parce que je l’aime…
M comme métronome. Rythme imposé, je vis sans…
N comme nougatine. T’as d’beaux yeux coquine….
O comme ôde. L’âme rôde et m’assassine…
P comme papillon. Celui qui s’envole avant de périr…
Q comme qualité de quantité absurdes et volontaires, Q comme pourquoi ?
R comme vivre de riens. C’est si rare bordel… Bande d’obsédés !
S comme sirènes. Soir de rêveries ou d’ennui…
T comme this train again, always, for ever, for her… Intemporelle.
U comme ultime, intense, simple, usuel, unis. Plaisir ?
V comme le vert de tes yeux qui me disent adieu…
W comme when je t’ai vu the first time…
X comme xénophobe, bande d’enculés.
Y comme yeeeeeessssss, merde !
Z comme zen. Comme mon cœur dans ton âme et tes yeux dans mes bras.
Zen comme aujourd’hui.
Zen comme A bientôt, à toujours !
Zen comme cet Instant…
29/08/05
de mélancolie et d’Amour. A comme avant, A comme Après, A comme jamais.
A celui qui en mon nom aurait pu dire " je t’aime " . A celle qui n’existe pas
à qui je dis " je t’ai toujours aimé " . Adieu.
B comme belvédère. B comme un baiser sur ton cœur, un regard sur ton âme.
Autre vision d’un monde panoramique, euphorique.
C comme çà. C indéfinissable, cela ne le sera jamais. C coule de source !
D comme idéal. Décalé, briser les tabous. D comme d’aventures…
E comme évidence, évidemment !
F comme sœur de fait. F comme " t’es grand p’tit con " .
G comme gare. Désaffectée, inutile et indispensable…Espace de créativité,
d’accueil. G comme grande bâtisse, accueillante en partance…
H comme hérédité, proximité, interdits…
I comme invention. Inventons l’Amour comme toujours…
J comme je reviendrai un jour… J comme jovial !
K comme kinési. Ca fait du bien quand ça fait mal…
L comme Elle. L comme ligne de conduite, droite, tracé. Contradiction
entre loi et liberté. L comme tue l’amour, L parce que je l’aime…
M comme métronome. Rythme imposé, je vis sans…
N comme nougatine. T’as d’beaux yeux coquine….
O comme ôde. L’âme rôde et m’assassine…
P comme papillon. Celui qui s’envole avant de périr…
Q comme qualité de quantité absurdes et volontaires, Q comme pourquoi ?
R comme vivre de riens. C’est si rare bordel… Bande d’obsédés !
S comme sirènes. Soir de rêveries ou d’ennui…
T comme this train again, always, for ever, for her… Intemporelle.
U comme ultime, intense, simple, usuel, unis. Plaisir ?
V comme le vert de tes yeux qui me disent adieu…
W comme when je t’ai vu the first time…
X comme xénophobe, bande d’enculés.
Y comme yeeeeeessssss, merde !
Z comme zen. Comme mon cœur dans ton âme et tes yeux dans mes bras.
Zen comme aujourd’hui.
Zen comme A bientôt, à toujours !
Zen comme cet Instant…
29/08/05
Dernière édition par le Mar 30 Aoû 2005 - 3:44, édité 1 fois
A cet instant précis
A cet instant précis
L'émoi défie le temps
Perdu à cet instant
Le fou original
Pêcher subliminal
A en pleurer encore
Se déchirer dehors
A en crier sur toile
Et raccrocher l'étoile
A cet instant maudit
Des âmes réunies
A ce présent futur
J'ai traversé le mur
Un baiser sur ton front
Dont tu entends le son
Une couleur de toi
A fait monter ce moi
A cet instant de plaisir
A ce moment de délire
29/08/05
Perdu à cet instant
Le fou original
Pêcher subliminal
A en pleurer encore
Se déchirer dehors
A en crier sur toile
Et raccrocher l'étoile
A cet instant maudit
Des âmes réunies
A ce présent futur
J'ai traversé le mur
Un baiser sur ton front
Dont tu entends le son
Une couleur de toi
A fait monter ce moi
A cet instant de plaisir
A ce moment de délire
29/08/05
Dernière édition par le Mar 30 Aoû 2005 - 3:42, édité 1 fois
A bientôt, à toujours
A bientôt, à toujours
J’écrirai un jour, j’écrirai le beau
J’avouerai un jour que j’aime être fou
Mais je ne sais comment, je ne sais quand
Je te dédie ce jour ce moment, cet instant
J’aimerais sourire à chacun de tes bras
J’aimerais mourir au creux de tes pas
Mais tu n’existes pas sauf que par moi
Je t’aimerai un jour je ne sais d’où
Les mots s’envolent simplement
Quoi de plus simple que le temps
Où se meurent présent, passé
Vers un futur de vérités
Les verbes ne peuvent décrire
Tout ce que mon âme ressent
J’aurais tant voulu te l’écrire
J’ai aimé t’offrir cet instant…
(c) 06/08/05
J’avouerai un jour que j’aime être fou
Mais je ne sais comment, je ne sais quand
Je te dédie ce jour ce moment, cet instant
J’aimerais sourire à chacun de tes bras
J’aimerais mourir au creux de tes pas
Mais tu n’existes pas sauf que par moi
Je t’aimerai un jour je ne sais d’où
Les mots s’envolent simplement
Quoi de plus simple que le temps
Où se meurent présent, passé
Vers un futur de vérités
Les verbes ne peuvent décrire
Tout ce que mon âme ressent
J’aurais tant voulu te l’écrire
J’ai aimé t’offrir cet instant…
(c) 06/08/05
Dernière édition par le Mar 30 Aoû 2005 - 3:41, édité 3 fois
Re: Poèsie diverses
Ces trois textes à caractère poètiques se suivent car ils sont liés, merci de de votre compréhension Et des fois oui et des fois non....
Et je l'ai rencontré il y a peu
Et je l'ai rencontré il y a peu
Re: Poèsie diverses
Là, c'est pire...et je n'ose pas peser mes mots ( trop lourds ) !
Titre : J'aime ( sonnet )
J’ai attendu, j’ai tant cherché
Tout dépensé pour être nu
Sans rien comprendre, ingénu
Et dire : je me suis trompé
Enfant, nul ne peut soupçonner
Qu’il faut vivre et avoir vécu
Etre vrai dépourvu de vue
Avoir cette foi pour aimer
Seul pourra te guider ton cœur
Sans te lever de si bonne heure
Abandonne et soit bien plus beau
Pourquoi donc chercher cette étoile
Aimer emmène bien plus haut
Vivre à en déchirer la toile
(c) 02/10/05
J’ai attendu, j’ai tant cherché
Tout dépensé pour être nu
Sans rien comprendre, ingénu
Et dire : je me suis trompé
Enfant, nul ne peut soupçonner
Qu’il faut vivre et avoir vécu
Etre vrai dépourvu de vue
Avoir cette foi pour aimer
Seul pourra te guider ton cœur
Sans te lever de si bonne heure
Abandonne et soit bien plus beau
Pourquoi donc chercher cette étoile
Aimer emmène bien plus haut
Vivre à en déchirer la toile
(c) 02/10/05
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