parution de nuit noire
Page 1 sur 1
parution de nuit noire
et bin ça y'est, c'est fait. mon bouquin le plus gore, le plus noir, le plus trash, le plus mystique, le plus impubliable, vient de sortir !
philippe ward, tel un chaos rampant de l'édition, a publié NUIT NOIRE chez rivière blanche.
mandy, tel celui qui attend en rêvant, s'est chargé de la magnifique couverture.
sinon, par rapport à la version diffusée sur internet, le texte a été considérablement augmenté. il a presque doublé de volume, en fait.
pour ceux qui voudraient voir la couverture et lire le début, c'est ici : http://www.riviereblanche.com/nuitnoire.htm
pour ceux qui voudraient visionner un extrait de la lecture que j'ai donné à bourges, c'est ici : https://www.youtube.com/watch?v=SQYPZvCMQyU
si vous voulez m'inviter à venir lire des extrait de mon bouquin ou à une signature, vous pouvez me contacter sur konsstrukt@hotmail.com
konsstrukt, derrick et ramzy
philippe ward, tel un chaos rampant de l'édition, a publié NUIT NOIRE chez rivière blanche.
mandy, tel celui qui attend en rêvant, s'est chargé de la magnifique couverture.
sinon, par rapport à la version diffusée sur internet, le texte a été considérablement augmenté. il a presque doublé de volume, en fait.
pour ceux qui voudraient voir la couverture et lire le début, c'est ici : http://www.riviereblanche.com/nuitnoire.htm
pour ceux qui voudraient visionner un extrait de la lecture que j'ai donné à bourges, c'est ici : https://www.youtube.com/watch?v=SQYPZvCMQyU
si vous voulez m'inviter à venir lire des extrait de mon bouquin ou à une signature, vous pouvez me contacter sur konsstrukt@hotmail.com
konsstrukt, derrick et ramzy
konsstrukt- VI - Hubert Cumberdale
- Nombre de messages : 223
Age : 50
Date d'inscription : 22/01/2008
Re: parution de nuit noire
QUELQUES REACTIONS DE LECTEURS :
Très inquiétant...
J'espère seulement que ç'est pas trop trop trop autobiographique.
Toujours aussi chargé...
C'est très fort les sentiments que tu arrives à transmettre... Un peu comme si tout cela était enfoui en nous mais que nous nous refusions à le laisser transparaître... Très fort...
Anteros n' a pas de grandes oreilles mais un gros zguègue
Tout çà me fais penser à Rouault.
Ton personnage me fait un peu penser au psychopathe dans la première partie des Racines du mal de Dantec.
Florence va bientôt resembler à une peaupiette de veau fourrée .
L'ambiance sexuel/morbide me rappelle vaguement certains passage de Glamorama de B.E.Ellis qui m'avaient bien plus.
J'imagine même pas faire un film tiré de ce roman !
Je tient à te dire que j'ai lu à haute voix des bribes de phrases à quelques personnes de mon entourage, proche, une copine m'a limite cogné pour que j'arrête....
Sinon, moi, j'peux plus lire tout ça, c'est trop gore, j'arrive pas y croire... Ca se lit pourtant comme du petit lait, mais j'sais pas comment dire ça, cette accumulation des pires horreurs, ça finit par m'anésthésier, j'vois pas où ça va... Peut-être qu'il me manquerait quelque chose de l'ordre d'une construction moins « chronologique »... Quelque chose de plus compliqué qu'une suite d'évênements psychopathes... Enfin, j'sais pas...
STOOOOOOOOOOOOPPPPPPPPP !!!!!!!!!!!!!! Je suis pas critique littéraire, je suis juste lecteur et aussi, un de tes premiers lecteurs on va dire, mais stop !!!!!!!!! Tu te fais pas du mal ?????? Trois mots, maman bite zizi, et tu tournes, tu tournes. J'aimais tes débuts parce qu'ils étaient vrais, en lisant, mais là, ça sent trop la construction littéraire forcé, tu ferai pleurer un saule pleureur, non non non !!! Qu'est ce que je peux te dire ?????? Qu'est ce que je veux te dire ?????????
Totalement stupide, tu l'es sans l'ombre d'un doute, cloporte besogneux. Je maintiens que les bouses de Christophe Siébert sont de la guimauve insipide pour branlotins boutonneux. Ca se veut transgressif et c'est juste pitoyable. C'est écrit pour choquer le bourgeois, mais le bourgeois il s'en fout, il se goberge en lisant Bataille ou Sade avant de partir enculer quelques boys en Thaïlande... Siébert peut niquer sa mère, boire son foutre, manger sa merde ou forniquer avec le démon, il n'a rien à dire, c'est sans profondeur, simplement ridicule.
Concernant la première partie, je note quelques accroches dans l'écriture, mais ce n'est pas ce qui me dérange le plus. Tu mets en scène un enfant et sa mère dans une situation clairement pornographique. De là à parler de texte à caractère pédophile et incestueux il n'y a qu'un petit pas à franchir.
J'ai commencé mais je ne suis pas allée jusqu'au bout. Vouloir choquer peut être, mais présenter un enfant dans un rapport incestueux, comme s'il était consentant, je trouve ça scandaleux.
J'avais assisté il y a deux ou trois ans à une de tes lectures dans la cave de l'Utopya à montpellier. Ta lecture à ce moment la ne m'avais pas vraiment convaincu parce que je t'avais trouvé trop trash pour être honnête, ou autrement dit trop provocant pour toucher vraiment, ceci dit j'étais tout de même reparti, curieux, avec le livret de la lecture que tu donnais et avec le sentiment que ce n'était en aucun cas du foutage de gueule... Aujourd'hui je trouve Nuit noire beaucoup plus écrit, narratif, riche et construit, que ce que j'avais entendu à l'époque. Bref, à mon avis la retenue, la meilleure accessibilité de ce que tu écris ici sont très bénéfiques et servent bien ton propos, tu ne peut plus être (à mon sens) classé comme « simple » provocateur comme je l'avais fait trop rapidement.
J'ai adoré lire ta saloperie de bouquin qui colle et poisse aux yeux...
J'aime beaucoup, on dirais que le passage sur les odeurs corporelles sent le vécu par contre. « j’ai récupéré la mouche et je suis allé dans mon carton » : cette phrase m'a fait beaucoup rire
J'aime la distance entre le narrateur et ce qu'il dit : pas d'exaltation débile, ni admirative ni dégoûtée, juste une objectivité poussée autant que possible, et comme amusée parfois ; le ton est excellent. Ca donne une portée réelle par exemple au paragraphe de l'homme à la hache qui, exalté et sans distance, pourrait être vraiment ridicule et déjà-vu. Il est, déjà-vu, comme les autres pour ce qui est des thèmes et des images, mais il est bien mis en œuvre et on garde nous aussi la même distance au texte que le narrateur, au moins, donc on le prend pour ce qu'il est, un récit sans prétention et léger (au sens intellectuel).
L'écriture aussi (au contraire de plein de trucs de Siébert) est enfin un peu libre et enfin un peu syntaxique. On a des phrases françaises, on n'a pas de volonté de choquer le sens grammatical du lecteur, on a des effets utiles quand il en faut, et chaque phrase est pensée il me semble (du moins pas anodine), mais comme c'est utile, ça reste extrêmement fluide. Faut lui rendre ça, à Siébert, il sait ce que c'est que l'unité de ton et l'unité de sensation ou de sentiment.
Je trouve ça presque poétique d'un certain point de vue, tout ce qui ce passe avec l'oreille est tellement juste et bien décrit et en même temps universel que vraiment ça en devient touchant sans basculer à aucun moment dans le truc gratuit et gnan-gnan.
Long, lourd, redondant... La fin ne m'aide pas à retrouver le souffle du début quand il était ado et boutonneux.
Pas terrible.
La fin est plutôt réussie, avec un style plus soigné, peut être un peu neutre. Une fin qui demeure de qualité et qui réussit à replacer les acteurs dans la chronologie.
Le plaisir de lecture est présent depuis le début, si bien que j'ai (presque, certains chapitres m'étaient déjà connus) tout lu en un jour. Je suis loin d'être déçu.
La conclusion est très honnête, mais sans retournement, révélation finale, vision dantesque, explosion de ragondins de 56ème cercle ou parachutage de trolls sur le mont chauve. Siébertien jusqu'au bout, quoi. Le ton Siébertien neutre mais pas avare de détails, fussent-ils anodins, ne m'a pas emballé des masses, et je me suis retrouvé à lire fréquemment en diagonales. Une impression, en permanence de : mais oui, viens-en au fait, accélère, pète les plombs, chauffe, marcel, chauffe.
Bilan générale : la moitié, voir les deux tiers étaient à mon sens dispensable. Le début, et un ou deux trucs par la suite étaient splendides, mais ça s'est enfoncé dans la banalité morbide. C'était pas mauvais, j'aime assez le style d'écriture, mais c'était répétitif, ça faisait remplissage, et surtout on s'est mis trop vite à attendre la fin, un symptôme jamais trop bon.
Toujours aussi insignifiant. Catalogue non raisonné d'événements improbables, d'anachronismes patents, d'imbécilités pures (il n'existe pas d'autiste nymphomane, connard) et d'extravagances syntaxiques, rédigé dans un style illisible obtenu par le charcutage systématique du texte en foutant des points partout, au hasard, pour faire des phrases courtes, parce que c'est cool.
Plus ça va plus j'ai de mal à lire ce truc. Cliché sur cliché. Je préférais l'époque punk poésie. Là, y avait de la recherche littéraire. Ici, j'en vois guère.
Le fait est que je suis pas - oh non - un grand fan des écrits de Siébert, mais je lui reconnais au moins de savoir ce qu'il veut et y arriver.
Personnellement je trouve que le style est plutôt vulgaire et décousu, les actions s'enchaînent sans réel rapport aux autres. La psychologie du personnage si l'on peut l'appeler ainsi est maladroite et abordée de façon très superficielle, même si l'on pourrait éventuellement considérer que le récit lui même servirait à dresser un portrait psychologique de l'individu et de sa pathologie... mais là je ne suis vraiment pas convaincu que l'auteur ait eu ce souci. Ensuite, les répétitions, je ne sais si c'est lié à un manque de vocabulaire ou bien si c'est volontaire mais je trouve que cela rend le texte très lourd et donne une telle impression de longueur qu'il faut vraiment s'accrocher pour arriver jusqu'au bout... Enfin, je ne vois pas ce qu'il y a de « bandant » dans ces scènes de violence qui sont à mon sens très mal décrites, bien que je n'ai pas ce genre de fantasmes je pense tout de même que si le but est ici la description de l'acte il n'est pas atteint... Les gestes semblent presque placés en ellipses le registre descriptif est tantôt trop présent tantôt pas assez... En bref je n'accroche pas du tout.
J'ai lu Nuit noire, qui ne fait pas dans la dentelle mais qui a le mérite de pousser son principe assez loin. C'est sale, obscène, violent et jusqu'au boutiste. Une curiosité à découvrir.
A mon avis, pour qu'un mec comme toi soit publié, c'est que ton anus doit être dans un état bien pitoyable. Des tonnes de bites bien turgescentes ont du visiter ton fondement pour que ta prose maladorante et bancale arrive à être imprimée sur du papier blanc .
le lien vers l'éditeur : http://www.riviereblanche.com/nuitnoire.htm
Très inquiétant...
J'espère seulement que ç'est pas trop trop trop autobiographique.
Toujours aussi chargé...
C'est très fort les sentiments que tu arrives à transmettre... Un peu comme si tout cela était enfoui en nous mais que nous nous refusions à le laisser transparaître... Très fort...
Anteros n' a pas de grandes oreilles mais un gros zguègue
Tout çà me fais penser à Rouault.
Ton personnage me fait un peu penser au psychopathe dans la première partie des Racines du mal de Dantec.
Florence va bientôt resembler à une peaupiette de veau fourrée .
L'ambiance sexuel/morbide me rappelle vaguement certains passage de Glamorama de B.E.Ellis qui m'avaient bien plus.
J'imagine même pas faire un film tiré de ce roman !
Je tient à te dire que j'ai lu à haute voix des bribes de phrases à quelques personnes de mon entourage, proche, une copine m'a limite cogné pour que j'arrête....
Sinon, moi, j'peux plus lire tout ça, c'est trop gore, j'arrive pas y croire... Ca se lit pourtant comme du petit lait, mais j'sais pas comment dire ça, cette accumulation des pires horreurs, ça finit par m'anésthésier, j'vois pas où ça va... Peut-être qu'il me manquerait quelque chose de l'ordre d'une construction moins « chronologique »... Quelque chose de plus compliqué qu'une suite d'évênements psychopathes... Enfin, j'sais pas...
STOOOOOOOOOOOOPPPPPPPPP !!!!!!!!!!!!!! Je suis pas critique littéraire, je suis juste lecteur et aussi, un de tes premiers lecteurs on va dire, mais stop !!!!!!!!! Tu te fais pas du mal ?????? Trois mots, maman bite zizi, et tu tournes, tu tournes. J'aimais tes débuts parce qu'ils étaient vrais, en lisant, mais là, ça sent trop la construction littéraire forcé, tu ferai pleurer un saule pleureur, non non non !!! Qu'est ce que je peux te dire ?????? Qu'est ce que je veux te dire ?????????
Totalement stupide, tu l'es sans l'ombre d'un doute, cloporte besogneux. Je maintiens que les bouses de Christophe Siébert sont de la guimauve insipide pour branlotins boutonneux. Ca se veut transgressif et c'est juste pitoyable. C'est écrit pour choquer le bourgeois, mais le bourgeois il s'en fout, il se goberge en lisant Bataille ou Sade avant de partir enculer quelques boys en Thaïlande... Siébert peut niquer sa mère, boire son foutre, manger sa merde ou forniquer avec le démon, il n'a rien à dire, c'est sans profondeur, simplement ridicule.
Concernant la première partie, je note quelques accroches dans l'écriture, mais ce n'est pas ce qui me dérange le plus. Tu mets en scène un enfant et sa mère dans une situation clairement pornographique. De là à parler de texte à caractère pédophile et incestueux il n'y a qu'un petit pas à franchir.
J'ai commencé mais je ne suis pas allée jusqu'au bout. Vouloir choquer peut être, mais présenter un enfant dans un rapport incestueux, comme s'il était consentant, je trouve ça scandaleux.
J'avais assisté il y a deux ou trois ans à une de tes lectures dans la cave de l'Utopya à montpellier. Ta lecture à ce moment la ne m'avais pas vraiment convaincu parce que je t'avais trouvé trop trash pour être honnête, ou autrement dit trop provocant pour toucher vraiment, ceci dit j'étais tout de même reparti, curieux, avec le livret de la lecture que tu donnais et avec le sentiment que ce n'était en aucun cas du foutage de gueule... Aujourd'hui je trouve Nuit noire beaucoup plus écrit, narratif, riche et construit, que ce que j'avais entendu à l'époque. Bref, à mon avis la retenue, la meilleure accessibilité de ce que tu écris ici sont très bénéfiques et servent bien ton propos, tu ne peut plus être (à mon sens) classé comme « simple » provocateur comme je l'avais fait trop rapidement.
J'ai adoré lire ta saloperie de bouquin qui colle et poisse aux yeux...
J'aime beaucoup, on dirais que le passage sur les odeurs corporelles sent le vécu par contre. « j’ai récupéré la mouche et je suis allé dans mon carton » : cette phrase m'a fait beaucoup rire
J'aime la distance entre le narrateur et ce qu'il dit : pas d'exaltation débile, ni admirative ni dégoûtée, juste une objectivité poussée autant que possible, et comme amusée parfois ; le ton est excellent. Ca donne une portée réelle par exemple au paragraphe de l'homme à la hache qui, exalté et sans distance, pourrait être vraiment ridicule et déjà-vu. Il est, déjà-vu, comme les autres pour ce qui est des thèmes et des images, mais il est bien mis en œuvre et on garde nous aussi la même distance au texte que le narrateur, au moins, donc on le prend pour ce qu'il est, un récit sans prétention et léger (au sens intellectuel).
L'écriture aussi (au contraire de plein de trucs de Siébert) est enfin un peu libre et enfin un peu syntaxique. On a des phrases françaises, on n'a pas de volonté de choquer le sens grammatical du lecteur, on a des effets utiles quand il en faut, et chaque phrase est pensée il me semble (du moins pas anodine), mais comme c'est utile, ça reste extrêmement fluide. Faut lui rendre ça, à Siébert, il sait ce que c'est que l'unité de ton et l'unité de sensation ou de sentiment.
Je trouve ça presque poétique d'un certain point de vue, tout ce qui ce passe avec l'oreille est tellement juste et bien décrit et en même temps universel que vraiment ça en devient touchant sans basculer à aucun moment dans le truc gratuit et gnan-gnan.
Long, lourd, redondant... La fin ne m'aide pas à retrouver le souffle du début quand il était ado et boutonneux.
Pas terrible.
La fin est plutôt réussie, avec un style plus soigné, peut être un peu neutre. Une fin qui demeure de qualité et qui réussit à replacer les acteurs dans la chronologie.
Le plaisir de lecture est présent depuis le début, si bien que j'ai (presque, certains chapitres m'étaient déjà connus) tout lu en un jour. Je suis loin d'être déçu.
La conclusion est très honnête, mais sans retournement, révélation finale, vision dantesque, explosion de ragondins de 56ème cercle ou parachutage de trolls sur le mont chauve. Siébertien jusqu'au bout, quoi. Le ton Siébertien neutre mais pas avare de détails, fussent-ils anodins, ne m'a pas emballé des masses, et je me suis retrouvé à lire fréquemment en diagonales. Une impression, en permanence de : mais oui, viens-en au fait, accélère, pète les plombs, chauffe, marcel, chauffe.
Bilan générale : la moitié, voir les deux tiers étaient à mon sens dispensable. Le début, et un ou deux trucs par la suite étaient splendides, mais ça s'est enfoncé dans la banalité morbide. C'était pas mauvais, j'aime assez le style d'écriture, mais c'était répétitif, ça faisait remplissage, et surtout on s'est mis trop vite à attendre la fin, un symptôme jamais trop bon.
Toujours aussi insignifiant. Catalogue non raisonné d'événements improbables, d'anachronismes patents, d'imbécilités pures (il n'existe pas d'autiste nymphomane, connard) et d'extravagances syntaxiques, rédigé dans un style illisible obtenu par le charcutage systématique du texte en foutant des points partout, au hasard, pour faire des phrases courtes, parce que c'est cool.
Plus ça va plus j'ai de mal à lire ce truc. Cliché sur cliché. Je préférais l'époque punk poésie. Là, y avait de la recherche littéraire. Ici, j'en vois guère.
Le fait est que je suis pas - oh non - un grand fan des écrits de Siébert, mais je lui reconnais au moins de savoir ce qu'il veut et y arriver.
Personnellement je trouve que le style est plutôt vulgaire et décousu, les actions s'enchaînent sans réel rapport aux autres. La psychologie du personnage si l'on peut l'appeler ainsi est maladroite et abordée de façon très superficielle, même si l'on pourrait éventuellement considérer que le récit lui même servirait à dresser un portrait psychologique de l'individu et de sa pathologie... mais là je ne suis vraiment pas convaincu que l'auteur ait eu ce souci. Ensuite, les répétitions, je ne sais si c'est lié à un manque de vocabulaire ou bien si c'est volontaire mais je trouve que cela rend le texte très lourd et donne une telle impression de longueur qu'il faut vraiment s'accrocher pour arriver jusqu'au bout... Enfin, je ne vois pas ce qu'il y a de « bandant » dans ces scènes de violence qui sont à mon sens très mal décrites, bien que je n'ai pas ce genre de fantasmes je pense tout de même que si le but est ici la description de l'acte il n'est pas atteint... Les gestes semblent presque placés en ellipses le registre descriptif est tantôt trop présent tantôt pas assez... En bref je n'accroche pas du tout.
J'ai lu Nuit noire, qui ne fait pas dans la dentelle mais qui a le mérite de pousser son principe assez loin. C'est sale, obscène, violent et jusqu'au boutiste. Une curiosité à découvrir.
A mon avis, pour qu'un mec comme toi soit publié, c'est que ton anus doit être dans un état bien pitoyable. Des tonnes de bites bien turgescentes ont du visiter ton fondement pour que ta prose maladorante et bancale arrive à être imprimée sur du papier blanc .
le lien vers l'éditeur : http://www.riviereblanche.com/nuitnoire.htm
konsstrukt- VI - Hubert Cumberdale
- Nombre de messages : 223
Age : 50
Date d'inscription : 22/01/2008
Sujets similaires
» la nuit noire
» tournée nuit noire - lille
» la nuit noire continue de tomber partout
» parution de mon roman de cul LE VALET
» parution de mon nouveau roman chez numériklivres
» tournée nuit noire - lille
» la nuit noire continue de tomber partout
» parution de mon roman de cul LE VALET
» parution de mon nouveau roman chez numériklivres
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum